Xavierlaine081

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  900 Lorsque par de mystérieuses actions, le silence s’impose, il reste à explorer ces rives de solitudes, puissantes et farouches qui ne délivrent de rien. Que... Lire la suite

  Publié le 28 mai 2010

• Etat chronique de poésie 899

  

  899 La table fut dressée, en prenant soin de ne point écraser les jeunes pousses, dans l’herbe verte. Les amis invités, restait à plonger dans l’ivresse de la... Lire la suite

  Publié le 27 mai 2010

• Etat chronique de poésie 898

  

  898 Tant de cris de goélands résonnent encore aux oreilles. Quelque chose est resté, entre deux grains de sable, noué à la mémoire. Il fut enfin temps de le... Lire la suite

  Publié le 26 mai 2010

• Etat chronique de poésie 897

  

  897 Il fallait donc tourner le dos à la mer, fuir le grand large et ses rêves d’îles solitaires et de grand vent ; affronter la foule grégaire débarquée en... Lire la suite

  Publié le 25 mai 2010

• Noam Chomsky à Paris

  Les mutins de Pangée communiquent: Noam Chomsky arrive en France dans moins d’une semaine pour un passage de quelques jours à Paris. Lire la suite

  Publié le 24 mai 2010

• Etat chronique de poésie 896

  

  896 Il se trouve toujours quelque bonne raison de fuir, lorsque nous laissons nos âmes dériver d’île en île. Les uns voyagent sans se retourner sur les pas... Lire la suite

  Publié le 24 mai 2010

• Enquête en terre d'humanité

  

  A propos de « Elégie pour Laviolette », de Pierre Magnan, publié chez Robert Laffont http://www.e-litterature.net/publier2/spip/spip.php? Lire la suite

  Publié le 21 mai 2010

• Etat chronique de poésie 895

  

  895 Mes yeux cherchaient en vain et finirent par trouver Un regard rieur Une bouche adorable Des tables accueillantes Des livres par milliers * Mes yeux... Lire la suite

  Publié le 21 mai 2010

• Etat chronique de poésie 894

  

  894 Pas de jour sans que viennent à la bouche mots évoquant les tempêtes. Avec un bémol minimisant leurs effets, on avoue une peur qui s’installe dès lors que l... Lire la suite

  Publié le 20 mai 2010

• Etat chronique de poésie 893

  

  893 Ballet de chalutiers qui entrent et sortent du port, chacun larguant sa cargaison  au quai où s’affairent les marchands. C’est maigre pitance arrachée à la... Lire la suite

  Publié le 19 mai 2010

• Etat chronique de poésie 892

  

  892 Gorgones éparses au bon vouloir des marées Voiles radieuses Seuls reliefs entre mer et ciel Ci se dresse l’ultime librairie avant six mille kilomètres Et Su... Lire la suite

  Publié le 18 mai 2010

• Etat chronique de poésie 891

  

  891 La douleur est impalpable mais elle demeure. Ce qui ne se dit plane dans l’air, porté par un vent qui jamais ne s’arrête. Des nuées, subrepticement,... Lire la suite

  Publié le 17 mai 2010

• Etat chronique de poésie 890

  

  890 Nous avons franchi les douze portes, payé les franchises et gabelles nécessaires à leur ouverture. La nuit accompagnait nos roues qui tournaient, chargées d... Lire la suite

  Publié le 16 mai 2010

• Devenir la conscience de ce monde

  Tandis que notre Président de la République, pour une fois, se tait, ainsi que les médias à ses ordres, à New-York, des milliers de citoyens, bien plus... Lire la suite

  Publié le 15 mai 2010

• Etat chronique de poésie 889

  

  889 C’est tendre rosée qui se pose au bord des paupières Mots d’enfants déposés au secret de la nuit Prennent leur chemin Petites mains qui se tendent par delà... Lire la suite

  Publié le 15 mai 2010

• Etat chronique de poésie 888

  

  888 Mes mots s’enlacent aux paupières murées Aux corps torturés Sur les chaînes d’intenables labeurs * Ici mes yeux s’ouvrent sur les paupières lourdes Fatigue... Lire la suite

  Publié le 14 mai 2010

• Etat chronique de poésie 887

  

  887 La poésie de ce temps a un problème narcissique, alors elle s’énerve. Elle a du mal à comprendre sa déchéance sur l’autel des valeurs sûrs de la société... Lire la suite

  Publié le 13 mai 2010

• Etat chronique de poésie 886

  

  886 Il n’est plus temps . Il n’est plus temps de tergiverser Ni d’observer la lune Qui se noie entre deux timides nuées . Doigts fébriles à l’endroit de la... Lire la suite

  Publié le 12 mai 2010

• Etat chronique de poésie 885

  

  885 J’écris : qu’est-ce que cette ombre inconnue qui m’envahit, juste rompue de ces mots lumières ? Phares déposés au rivage de survivance. Nuit ponctuée de... Lire la suite

  Publié le 11 mai 2010

• Etat chronique de poésie 884

  

  884 Il me faut rebondir à des qualifications qui ne sont qu’émergence de pensées absentes. On pense local en l’opposant à national ou universel. On érige une... Lire la suite

  Publié le 10 mai 2010