Xavierlaine081

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• Etat chronique de poésie 953

  

  953 Je ne sais rien d’autre que la longue écoute de tes soupirs. Toi que je ne connaîtrai jamais sous les tôles charmantes de ces villes réduites à la plus... Lire la suite

  Publié le 30 juillet 2010

• Etat chronique de poésie 952

  

  952 Portes franchies vers la houle sereine Vagues déferlantes sur rivage de béton et d’asphalte Ce qui est ici Aux portes méridionales d’un continent S’ouvre au... Lire la suite

  Publié le 29 juillet 2010

• Etat chronique de poésie 951

  

  951 Dans la fraternité des sots, on se brise l’échine. En voilà qui surgissent, vieux, et n’ayant point appris à vivre. Que voulez-vous, ils eurent toute une... Lire la suite

  Publié le 28 juillet 2010

• Etat chronique de poésie 950

  

  950 Agir, ne plus s’en laisser compter, ne plus se laisser impressionner, ni influencer, ni accepter la fatalité d’un temps qui nous invite à la dépossession. Lire la suite

  Publié le 27 juillet 2010

• Avis de parution 10

  

  La revue Diptyque, nouvellement créée par Florence Noël, me fait l'amitié d'insérer, dès son premier numéro deux de mes propositions de textes. Lire la suite

  Publié le 26 juillet 2010

• Etat chronique de poésie 949

  

  949 Le devoir nous appelle. Il faut tenir place, paraître… * Drôle de monde qui vit dans le virtuel sa vie réelle : Que des enfants meurent ici ou là, Que la vi... Lire la suite

  Publié le 26 juillet 2010

• Etat chronique de poésie 948

  

  948 Lorsque tout s’écroule de ce que nous avions cru bon pour les Hommes. Il nous reste à regarder le champ de ruines laissé par les obscures forces. Lire la suite

  Publié le 25 juillet 2010

• Etat chronique de poésie 947

  

  947 Revues et internet sont les derniers refuges d'une parole libre. Alors que tous les médias, les journaux, les maisons d'édition sont aux mains des... Lire la suite

  Publié le 24 juillet 2010

• Etat chronique de poésie 946

  

  946 « C’est simple, à partir de la porte Saunerie, je ne reconnais plus rien. Il me semble que le monde entier a changé à partir de là. Quand j’ai vu que le Caf... Lire la suite

  Publié le 23 juillet 2010

• Etat chronique de poésie 945

  

  945 Me retournant, je vous ai vues, douces naïades, assises, jambes pendantes, au bord du quai. De vieux gréements, claquaient dans le vent (un vent à décorner... Lire la suite

  Publié le 22 juillet 2010

• Etat chronique de poésie 944

  

  944 Que pourrait bien vouloir dire de mieux être en un monde qui ne sait que violences ? Etre… Avoir… Deux mots à l’intime liaison qui ne font que cadencer la... Lire la suite

  Publié le 21 juillet 2010

• Etat chronique de poésie 943

  

  943 Point assez d’yeux pour pleurer ni de silence pour accueillir. Ce qui vient de cette flottille, battant pavillon de paix et d’entraide, fusillée au petit... Lire la suite

  Publié le 20 juillet 2010

• Etat chronique de poésie 942

  

  942 Un papillon, à l'article de la mort, tremble de ses deux ailes, sur la pierre du chemin. L'enfant s'accroupit, le regarde. Lire la suite

  Publié le 19 juillet 2010

• Sommets du silence

  

  Nos yeux Du dedans Se tournent vers les cimes . Dentelles de roc Offertes au voile d'azur . Nous marchons Loin de la rumeur Dans le juste murmure des sources .... Lire la suite

  Publié le 10 juillet 2010

• Etat chronique de poésie 941

  

  941 Revenu d’un comtat perdu dans les méandres de sa mémoire, la route se fait, solitaire. Ici, l’ardeur solaire irradie du sol sec, dans une nuée de moustiques. Lire la suite

  Publié le 10 juillet 2010

• Etat chronique de poésie 940

  

  940 C’est toujours dans la précipitation que s’écoulent les heures Forces implacables qui nous happent dès le réveil Nous conduisent en terrain ras de toute... Lire la suite

  Publié le 09 juillet 2010

• Etat chronique de poésie 939

  

  939 L’homme promène son indifférence sur des avenues qui lui tendent miroir. Quoi, on ne se satisfait point de ce réel qui crie sa faim, il faut qu’on pérore... Lire la suite

  Publié le 08 juillet 2010

• Etat chronique de poésie 938

  

  938 Tout se tisse dans la fugacité de l'instant,  D'un mot fragile déposé sur le front du temps  En volutes de baisers avant que la lumière ne vacille,  Nous... Lire la suite

  Publié le 07 juillet 2010

• Etat chronique de poésie 937

  

  937 Délaissant les bras langoureux de Sorgues Pourchassés d’escadrilles hurlantes et piquantes Tu reprends le chemin des buissons et des maquis * Ce qui vient a... Lire la suite

  Publié le 06 juillet 2010

• Etat chronique de poésie 936

  

  936 Nous fendons la foule qui se presse aux quais de Sorgues. D’étal en étal, nos yeux se penchent sur ces détails de l’histoire que des antiquaires monnayent a... Lire la suite

  Publié le 05 juillet 2010