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Poésie
DERNIERS ARTICLES (5311)
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Les mains vides (Jean-Paul Hameury)
Nous avons cru longtemps notre destin lisible dans le chiffre des astres. Longtemps nous avons pensé que les années pouvaient l’une à l’autre se joindre comme... Lire la suite
Publié le 18 février 2010 POÉSIE -
Voici la nuit (Jean-Paul Hameury)
Voici la nuit. Eteins toutes les lampes oublie le feu et l’au-delà. Demeure dans ce lieu - celui-ci et nul autre. Dans ce temps sans bords l’instant est un... Lire la suite
Publié le 18 février 2010 POÉSIE -
Oiseau parmi les oiseaux (Jean-Paul Hameury)
J’ai espéré longtemps qu’au cours de ton voyage tu te retournerais tu laisserais ici ou là des pierres dressées des traces dans le sable des croix de bois sur... Lire la suite
Publié le 17 février 2010 POÉSIE -
Dans la danse éperdue des atomes (Jean-Paul Hameury)
Nous qui serons passés si vite et en tremblant entre les deux lisières qui n’aurons jamais su parler nous serons là muettement éparpillés tendrement recueillis... Lire la suite
Publié le 17 février 2010 POÉSIE -
Là enfin où l’âme depuis toujours veut boire (Jean-Paul Hameury)
Nous sera-t-il donné quelque jour de dresser les mots sur cette terre comme bannières de paix et flammes dans la lumière des matins? Parler conduira-t-il là... Lire la suite
Publié le 17 février 2010 POÉSIE -
Je ne sais qu’emprunter les coulées libres (Jean-Paul Hameury)
L’herbe est si haute désormais que tout chemin s’est dissipé. Ni sentes ni horizon seulement la toile dure du ciel: nuages défaits lumière furtive. Lire la suite
Publié le 17 février 2010 POÉSIE -
Un peu de lumière? (Jean-Paul Hameury)
Après tout ce temps consacré à l’attente est-il possible encore qu’au détour du chemin sur l’épaule brève d’un talus soit cueillie aux lèvres des mauves un peu... Lire la suite
Publié le 17 février 2010 POÉSIE -
L’humble feu du rouge-gorge (Jean-Paul Hameury)
D’avoir dû parcourir de si vastes et lointaines contrées les mots étaient décolorés. Et du feu que des lèvres leur avaient confié ne restaient que cendres. Lire la suite
Publié le 17 février 2010 POÉSIE -
D’inaudibles secrets (Jean-Paul Hameury)
J’imaginais là-bas des voix claires disant à tous le brassement d’oeillets des aubes l’effroi des cendres éparpillées le soir sur les mers disant cet éveil et c... Lire la suite
Publié le 17 février 2010 POÉSIE -
L’espace inhabité du temps (Jean-Paul Hameury)
C’était toujours de vastes chambres muettes des rideaux coupant l’âme - ici les choses trop quotidiennes là-bas des univers sans nom - d’obscures fenêtres des... Lire la suite
Publié le 17 février 2010 POÉSIE -
Seul partage (Jean-Paul Hameury)
Entre toi et moi seul partage les brandes sèches de mes fièvres. Il suffisait malgré tout que tu t’y aventures pour qu’au bord de tes lèvres se lève une... Lire la suite
Publié le 17 février 2010 POÉSIE -
Tu t’en allais (Jean-Paul Hameury)
Tu t’en allais et je mourais alors de cette absence sans mesure. Restait la sente étroite des rêves où je suivais la trace de tes pas et t’appelais. Lire la suite
Publié le 17 février 2010 POÉSIE -
L’absence (Jean-Paul Hameury)
Ici présente la vie même, Et tout à coup l’absence comme une pierre comme des pierres une à une enfoncées dans l’âme. (Jean-Paul Hameury) Lire la suite
Publié le 17 février 2010 POÉSIE -
Grêlons (Seamus Heaney)
Ma joue fut assaillie de coups: une grêle soudain s’abattit et rebondit sur la route. Quand le ciel s’éclaircit à nouveau s’était retiré quelque chose plein de... Lire la suite
Publié le 17 février 2010 POÉSIE -
On cherche (Abdellatif Laâbi)
Ici on cherche toujours quelque chose dans les cafés, les églises, les places et jusque dans les poubelles on cherche en l’autre, en soi dans la cohue des... Lire la suite
Publié le 17 février 2010 POÉSIE -
Comment a-t-il pu oublier (Jean-Paul Hameury)
Comment a-t-il pu oublier des mers ce murmure jour et nuit de bouche jamais lasse? Et cette odeur de paille parfois pendant l’été et cette odeur d’aisselle moit... Lire la suite
Publié le 16 février 2010 POÉSIE -
Tant d’années (Jean-Paul Hameury)
Tant d’années sont tombées en poudre sur les chemins. Combien fidèle cependant la mémoire qui enfouit les images dans les couches du coeur où ne peut atteindre... Lire la suite
Publié le 16 février 2010 POÉSIE -
Le chant du cygne (Henri Heine)
Une étoile tombe de là-haut, Du haut de son palais étincelant. C’est l’étoile de l’amour Que je vois tomber là-bas. Feuilles et fleurs, en tourbillons, Tombent... Lire la suite
Publié le 16 février 2010 POÉSIE -
Jamais (Henri Heine)
Ils m’ont tourmenté, Ils m’ont fait enrager, Les uns avec leur amour, Les autres avec leur haine. Ils ont empoisonné mon pain, Versé du poison dans mon verre,... Lire la suite
Publié le 16 février 2010 POÉSIE -
Cache-cache (Henri Heine)
Nous avions l’un pour l’autre un tendre sentiment, Et nous avons vécu en parfait accord. Nous avons souvent joué « au mari et à la femme », Sans jamais nous... Lire la suite
Publié le 16 février 2010 POÉSIE