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Poésie
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Je chante je chante (Ali Hamouda)
Je chante je chante comme si je devais ne plus jamais chanter je rêve je rêve comme si je devais ne plus jamais me réveiller je parle de mon ciel comme s’il... Lire la suite
Publié le 24 février 2010 POÉSIE -
Où êtes-vous (Ali Hamouda)
Où êtes-vous à l’instant où notre souffle s’exhale sans vous rejoindre, ô vous les disparus qui laissez votre chair blottie contre notre âme, votre chair... Lire la suite
Publié le 24 février 2010 POÉSIE -
Jadis (Ali Hamouda)
Jadis – te souvient-il pourtant de la saison? les mots neigeaient sur un regard d’enfant suspendu aux étoiles, et la joie jaillissait des mers du ciel... Lire la suite
Publié le 24 février 2010 POÉSIE -
Effleurer (Ali Hamouda)
Effleurer comme la brise effleure à minuit les palmiers et la lune en rêve, comme la vague à l’aube effleure le sable, comme un regard effleure en silence tes... Lire la suite
Publié le 24 février 2010 POÉSIE -
Les astres se sont croisés (Ali Hamouda)
Les astres se sont croisés et nos langues sont devenues deux lames acharnées sur le fil ténu de l’amour. Que mes doigts se déchirent sous vos morsures Ô dents d... Lire la suite
Publié le 24 février 2010 POÉSIE -
A l’aube d’un avril où naquit ta chanson (Ali Hamouda)
Refleurisse le temps sur la crête des vagues vives porteuses des vieux chants émergés de l’oubli. Les barques dansent sous la brise, valse des parasols dans... Lire la suite
Publié le 24 février 2010 POÉSIE -
Moi qui ai si peur des départs (Ali Hamouda)
Moi qui ai si peur des départs par une nuit où le soleil n’avait laissé aucune trace et les étoiles aucun sourire, parmi les mots étranges et des voies inconnue... Lire la suite
Publié le 24 février 2010 POÉSIE -
Boutons d’or (Ali Hamouda)
Cette nuit-là l’aurore se leva sur des boutons d’or jaillis miraculeusement des ruines; l’air et le soleil pénétraient libres à travers un toit désespérément... Lire la suite
Publié le 24 février 2010 POÉSIE -
Mon ciel si bleu et si lointain (Ali Hamouda)
Au fond des eaux repose inaccessible mais partout présente la terre ferme et riche en corail et verdures. et il est aussi vrai qu’un nuage jamais n’effacera le... Lire la suite
Publié le 24 février 2010 POÉSIE -
Quand partout règne l’obscurité (Ali Hamouda)
Il y a toujours de la lumière quelque part dans le monde endormi. Et quand le vent déchire l’eau une mer quelque part chante et rit. Lire la suite
Publié le 24 février 2010 POÉSIE -
Il s’est passé quelque chose (Guillevic)
Il s’est passé quelque chose à Carnac, Il y a longtemps. Quelque chose qui compte Et tu dis, lumière, Qu’il y a lieu D’en être fier. *** Les menhirs sont en ran... Lire la suite
Publié le 24 février 2010 POÉSIE -
Elle avait un sourire égal au goéland (Guillevic)
Elle avait un visage Comme sont les visages Ouverts et refermés Sur le calme du monde. Dans ses yeux j’assistais Aux profondeurs de l’océan, à ses efforts Vers... Lire la suite
Publié le 24 février 2010 POÉSIE -
La fille qui viendrait (Guillevic)
La fille qui viendrait Serait la mer aussi, La mer parmi la terre. Le jour serait bonté, L’espace et nous complices. Nous apprendrions A ne pas toujours partir. Lire la suite
Publié le 24 février 2010 POÉSIE -
Ils sont dans l’air, les ossements (Guillevic)
A Carnac, derrière la mer, La mort nous touche et se respire Jusque dans les figuiers. Ils sont dans l’air, Les ossements. Le cimetière et les dolmens Sont... Lire la suite
Publié le 24 février 2010 POÉSIE -
Tu sais trop qu’on te préfère (Guillevic)
Mais tu sais trop qu’on te préfère, que ceux qui t’ont quittée Te trouvent dans les blés, Te recherchent dans la pierre, Insaisissable. Lire la suite
Publié le 24 février 2010 POÉSIE -
Ce violon qui joue (Guillevic)
L’assemblée des vivants, La fête quelque part, La plus haute avec toi, Ou la lande et le vide. Et toujours, n’importe où, Ce violon qui joue. Lire la suite
Publié le 24 février 2010 POÉSIE -
Le crime du bonheur (Guillevic)
Puisque furent atteints Les degrés du possible, Il nous fallait encore Essayer au-delà. Et c’est peut-être alors Que nous fut pardonné Le crime du bonheur. Lire la suite
Publié le 24 février 2010 POÉSIE -
Ce n’est pas sans raison (Guillevic)
Ce n’est pas sans raison Que nous avons tremblé Devant la moindre flamme, Que devant la bougie, Devant le feu de bois, Nos mains se recherchaient, Sans savoir s... Lire la suite
Publié le 24 février 2010 POÉSIE -
Pleurant contre la vitre (Guillevic)
Pleurant contre la vitre Et peut-être la même, Car de l’autre côté, Ce serait là. (Guillevic) Lire la suite
Publié le 24 février 2010 POÉSIE -
Pour l’habiter d’amour (Guillevic)
Tu n’as rien dérobé Que ce que l’on peut prendre sans rougir. Tu te cachais pourtant D’être le seul à en vouloir, Pour l’habiter longtemps, Pour l’habiter... Lire la suite
Publié le 24 février 2010 POÉSIE