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Poésie
DERNIERS ARTICLES (5311)
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Le chat (Baudelaire)
Viens, mon beau chat, sur mon coeur amoureux; Retiens les griffes de ta patte, Et laisse-moi plonger dans tes beaux yeux, Mêlés de métal et d’agate. Lire la suite
Publié le 14 mars 2010 POÉSIE -
La montagne (Jean Ferrat)
Ils quittent un à un le pays Pour s’en aller gagner leur vie Loin de la terre où ils sont nés Depuis longtemps ils en rêvaient De la ville et de ses secrets Du... Lire la suite
Publié le 14 mars 2010 POÉSIE -
Chanson du geôlier (Jacques Prévert)
Où vas-tu beau geôlier Avec cette clé tachée de sang Je vais délivrer celle que j’aime S’il en est encore temps Et que j’ai enfermée Tendrement cruellement Au... Lire la suite
Publié le 14 mars 2010 POÉSIE -
Le message (Jacques Prévert)
La porte que quelqu’un a ouverte La porte que quelqu’un a refermée La chaise où quelqu’un s’est assis Le chat que quelqu’un a caressé Le fruit que quelqu’un a... Lire la suite
Publié le 14 mars 2010 POÉSIE -
Chez la fleuriste (Jacques Prévert)
Un homme entre chez la fleuriste et choisit des fleurs la fleuriste enveloppe les fleurs l’homme met la main à sa poche pour chercher l’argent l’argent pour... Lire la suite
Publié le 14 mars 2010 POÉSIE -
Les affaires la guerre le tricot la guerre (Jacques Prévert)
La mère fait du tricot Le fils fait la guerre Elle trouve ça tout naturel la mère Et le père qu’est-ce qu’il fait le père? Il fait des affaires Sa femme fait... Lire la suite
Publié le 14 mars 2010 POÉSIE -
Déjeuner du matin (Jacques Prévert)
Il a mis le café Dans la tasse Il a mis le lait Dans la tasse de café Il a mis le sucre Dans le café au lait Avec la petite cuiller Il a tourné Il a bu le café... Lire la suite
Publié le 14 mars 2010 POÉSIE -
Chanson de l’oiseleur (Jacques Prévert)
L’oiseau qui vole si doucement L’oiseau rouge et tiède comme le sang L’oiseau si tendre l’oiseau moqueur L’oiseau qui soudain prend peur L’oiseau qui soudain... Lire la suite
Publié le 14 mars 2010 POÉSIE -
Tes jeunes seins brillaient sous la lune (Jacques Prévert)
Tes jeunes seins brillaient sous la lune Mais il a jeté Le caillou glacé La froide pierre de la jalousie Sur le reflet De ta beauté Qui dansait nue sur la... Lire la suite
Publié le 14 mars 2010 POÉSIE -
Nul ne cille. Nul ne dort. (Jacques Izoard)
Une locomotive à gueule d’or dort à la gare du Nord, attend départs et fourrages. Nul ne cille. Nul ne dort. Mais les oiseaux picorent. Lire la suite
Publié le 13 mars 2010 POÉSIE -
Le torrent (Jacques Izoard)
Le torrent n’enveloppe qu’un autre torrent qui bouillonne à la criée du vide et de l’absence. Et sa force l’emporte vers sa vie, vers sa mort. Lire la suite
Publié le 13 mars 2010 POÉSIE -
D’où (Jacques Izoard)
D’où ton langage tire-t-il sa voix, sa couleur, son écume? D’où ta voix tire-t-elle son métal, son bleu, son rêve? De ton amour, mon amour. Lire la suite
Publié le 13 mars 2010 POÉSIE -
Nous hisserons jusqu’aux girouettes (Jacques Izoard)
L’eau va envahir chambres et rotondes. Nous hisserons jusqu’aux girouettes nos âmes, nos coeurs. Un peu de ciel bleu colorera nos lèvres. Lire la suite
Publié le 13 mars 2010 POÉSIE -
Nous n’avions pas prévu les jours qui passent (Jacques Izoard)
Nous nous frottions, nous nous aimions. Nous buvions l’eau ensemble. Et des torrents nous emportaient. Nous enfourchions cent voyages. Nous n’avions pas prévu... Lire la suite
Publié le 13 mars 2010 POÉSIE -
L’oeil invente ce que nous voyons (Jacques Izoard)
L’oeil invente ce que nous voyons. Théâtre creux du monde! Vide infini que le front dissimule! Et nous tombons à la renverse en un néant qui nous ignore. Lire la suite
Publié le 13 mars 2010 POÉSIE -
Il te restera le bleu (Jacques Izoard)
De ton enfance au gré des voyages, de tes rixes, de tes trépas minimes, de l’oubli de toi-même, il te restera le bleu dont on fait les poèmes. Lire la suite
Publié le 13 mars 2010 POÉSIE -
Effleure paupière (Jacques Izoard)
Effleure paupière. Et si le regard devient souffle toute douceur est immédiate. Et tu dors dans ton propre corps. (Jacques Lire la suite
Publié le 13 mars 2010 POÉSIE -
Nulle voix n’accompagne (Jacques Izoard)
Eclatent cent braises qui jusqu’alors dormaient dans les petites maisons des nains et des elfes. Et les doigts courts et gourds tâtent corps et chairs. Mais... Lire la suite
Publié le 13 mars 2010 POÉSIE -
Dans des oeufs de buis (Jacques Izoard)
Continuons à explorer décombres, maisons en ruines, passant d’une chambre à l’autre, observant cruches et brocs. La petite fille qui dort a depuis longtemps... Lire la suite
Publié le 13 mars 2010 POÉSIE -
Métamorphoses (Marie-Claire Bancquart)
…Si nous étions les buis d’une divinité sculptés avec tendresse, au ciseau doux ? Le sombre à l’intérieur de nous sortirait en feuilles minimes serrées d’odeur... Lire la suite
Publié le 13 mars 2010 POÉSIE