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Poésie
DERNIERS ARTICLES (5311)
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Le poète (Rilke)
Effrayé au fond de lui-même par le tonnerre lointain du dieu, assailli au-dehors par la foule ininterrompu des apparences, le poète, ainsi violenté, n’a pour... Lire la suite
Publié le 27 mars 2010 POÉSIE -
Les chatons, sur le noisetier vide (Rilke)
Mais les morts, infiniment morts, s’ils nous éveillaient un symbole, regarde: peut-être nous montreraient-ils les chatons, sur le noisetier vide, les chatons... Lire la suite
Publié le 27 mars 2010 POÉSIE -
Nous ne cessons de dire adieu (Rilke)
Mais qui donc nous a retournés ainsi, pour que, quoi que nous fassions, nous ayons l’attitude de quelqu’un qui s’en va? Arrivé sur la dernière colline, qui lui... Lire la suite
Publié le 27 mars 2010 POÉSIE -
Le Tout (Rilke)
Ô bienheureuse la petite créature: toujours elle demeure dans le sein qui l’a portée; bonheur du moucheron, c’est encore au-dedans qu’il frétille, même au... Lire la suite
Publié le 27 mars 2010 POÉSIE -
Des regards (Rilke)
Des regards me retinrent, des étoiles: pour éviter que je remarque que tu ne venais jamais. *** Blicke hielten mich hin, Sterne: ich sollte nicht merkern daß... Lire la suite
Publié le 27 mars 2010 POÉSIE -
Quelque chose pour eux s’est ouvert (Rilke)
Nous, jamais, pas un seul jour, n’avons le pur espace devant nous, celui qu’investissent à l’infini les fleurs quand elles s’ouvrent. Lire la suite
Publié le 27 mars 2010 POÉSIE -
Chanson pour le sein crucifié d’une nonne (Edmond Jabès)
On avait défendu aux fleurs l’entrée du couvent. On ne peut rien contre une rose. Une nonne la cultivait au secret. Mais où, mais comment? Quand on lui déchira... Lire la suite
Publié le 27 mars 2010 POÉSIE -
Chanson pour le visage de la petite fille heureuse (Edmond Jabès)
La petite fille a posé sa tête contre la poitrine velue du printemps. Ses cheveux en sont parfumés; ses doigts tressent la tige frêle de nos rêves. Qui fait... Lire la suite
Publié le 27 mars 2010 POÉSIE -
Petite chanson pour la main entêtée du soldat mort (Edmond Jabès)
La main du soldat mort est restée accrochée à l’arbre, l’index sur la gâchette du fusil. Tant d’étoiles, ses victimes. Ohé, soldat, tu nous fais un ciel de fête... Lire la suite
Publié le 27 mars 2010 POÉSIE -
Chanson des trois petites vieilles assises (Edmond Jabès)
Trois petites vieilles veillent en rond dans leur salon. Elles ont froid à l’Âme et quelquefois une larme les brûle jusqu’au menton. Lire la suite
Publié le 27 mars 2010 POÉSIE -
Chanson de la porte (Edmond Jabès)
Nous sommes entrés par erreur. Nous avons frappé à la porte de service. C’était l’été, les grands navires des routes fumaient leurs étoiles. Tout était sale. Le... Lire la suite
Publié le 27 mars 2010 POÉSIE -
Chanson pour une couronne d’aube (Edmond Jabès)
Une épaisseur d’ombre Depuis les yeux, Est-ce encore la nuit? Une épaisseur de sang Pour la main, la jambe. Un arbre surpris. Ton visage m’illumine, Est-ce... Lire la suite
Publié le 27 mars 2010 POÉSIE -
Petite chanson pour le premier avril d’une fenêtre (Edmond Jabès)
Les filles rient aux fenêtres pour humilier les pelouses, arrondir les coins des arbres, délacer la montagne. Les filles chantent aux fenêtres pour tatouer la... Lire la suite
Publié le 27 mars 2010 POÉSIE -
Chanson pour trois poupées de sucre (Edmond Jabès)
Trois poupées de sucre et un confiseur. Trois poupées de luxe et leur tendre cœur. Un château de cartes et trois vieux marcheurs. Trois petites dames et leurs... Lire la suite
Publié le 27 mars 2010 POÉSIE -
Chanson pour une philosophie courante (Edmond Jabès)
Trois oies fraternelles cherchent leur tombe au ciel. » Je suis lasse « , dit la première. » Je suis lasse « , dit la seconde. Trois oies grasses et laides... Lire la suite
Publié le 27 mars 2010 POÉSIE -
La Lune (Izumi Shikibu)
Je contemple la trace de celui qui se levant est parti laissant à l’aube la Lune, cette consolation (Izumi Shikibu) Illustration Lire la suite
Publié le 26 mars 2010 POÉSIE -
Que toucher dans le jour? (Jacques Izoard)
Que toucher dans le jour? Des passants pressés, des rêveurs ou des ombres sur le pavé? On ne sait trop qui nous frôle. D’anciens marcheurs volatilisés ou des... Lire la suite
Publié le 26 mars 2010 POÉSIE -
Nous humons les parfums les plus fragiles (Jacques Izoard)
Nous n’aurons de cesse d’être en vie que pour dénoncer les roses qui ne seraient que roses. Eau à la bouche, nous humons les parfums les plus fragiles. Lire la suite
Publié le 26 mars 2010 POÉSIE -
On avait le temps (Jacques Izoard)
Nous jouions au lait qui bout, à la chair qui touche l’autre chair; inventions le vélo-rire et les petits soldats de plomb ne bougeaient ni queue ni maille. On... Lire la suite
Publié le 26 mars 2010 POÉSIE -
Se loger au fond du corps (Jacques Izoard)
Enfance à eau, à air, à ombre… Et se loger au fond du corps pour ne pas perdre vigueur et pour cacher à tous l’obscène évidence. Lire la suite
Publié le 26 mars 2010 POÉSIE