Mots pour maux

Je suis étudiante en lettres française, j'ai décidé de publier mes travaux car cela peut être utile à d'autres étudiants, et les commentaires surtout les critique peuvent toujours servir a m’améliorer

Vous trouverez ici des fiches de lectures, des analyses littéraires, des commentaires, ...

Je parlerai aussi de moi, des envies, des mes projets, des films que j’ai aimé, de mes passion : l’informatique, la photographie, le traitement d’images par ordinateur. Plein de choses en somme.

je suis un peu narcissique mais très légèrement, c'est vrai je m'aime un peu beaucoup, mais bon que c'est la verité c normal ;-)

Je crois que je serais la gentillesse, on dit que le plus court chemin au cœur d'une personne c'est la gentillesse donc pourquoi pas ?

Elle avait pris ce pli dans son âge enfantin
De venir dans ma chambre un peu chaque matin;
Je l'attendais ainsi qu'un rayon qu'on espère;
Elle entrait, et disait: Bonjour, mon petit père ;
Prenait ma plume, ouvrait mes livres, s'asseyait
Sur mon lit, dérangeait mes papiers, et riait,
Puis soudain s'en allait comme un oiseau qui passe.
Alors, je reprenais, la tête un peu moins lasse,
Mon oeuvre interrompue, et, tout en écrivant,
Parmi mes manuscrits je rencontrais souvent
Quelque arabesque folle et qu'elle avait tracée,
Et mainte page blanche entre ses mains froissée
Où, je ne sais comment, venaient mes plus doux vers.
Elle aimait Dieu, les fleurs, les astres, les prés verts,
Et c'était un esprit avant d'être une femme.
Son regard reflétait la clarté de son âme.
Elle me consultait sur tout à tous moments.
Oh! que de soirs d'hiver radieux et charmants
Passés à raisonner langue, histoire et grammaire,
Mes quatre enfants groupés sur mes genoux, leur mère
Tout près, quelques amis causant au coin du feu !
J'appelais cette vie être content de peu !
Et dire qu'elle est morte! Hélas! que Dieu m'assiste !
Je n'étais jamais gai quand je la sentais triste ;
J'étais morne au milieu du bal le plus joyeux
Si j'avais, en partant, vu quelque ombre en ses yeux

Les théories se sont succédé sur la notion d’art et d’artiste, et on verra que cette notion a évolué a travers les époques. Pour sa part, PLATON, au IVème siècle avant JC, affirmait dans « le sophiste» que : « l’art digne de ce nom est imitation ». Alors qu’au 20eme siècle, le Peintre et professeur Paul KLEE affirme dans «la théorie de l’art moderne» qu’on ne peut séparer l’imagination et la contemplation de l’activité créatrice.

Dans le 1^er texte, PLATON divise l’art en deux formes :

- La première est l'art de la copie qui est l'image calquée de l'objet (tel qu'il est en réalité), en respectant ses proportions, ses mesures réelles et ses couleurs. Il définit la copie par la ressemblance parfaite.

- La seconde est l'art du simulacre qui reproduit l'objet tel qu'il apparaît et non tel qu’il est, et cela en respectant les règles de la proportion. Il définit le simulacre par l’illusion.

Selon Paul Klee (texte N°2), La déformation dit arbitraire des réalités naturelles s’explique d’abord par l’absence de contrainte de l’artiste, ce dernier n’est dominé par les formes fixes et figés de la nature.

L’artiste observe les choses en profondeur, Pour Klee, l’art « rend visible » ce qui vient des profondeurs de l’être, sans contrainte de temps ou d’espace. L’œuvre est la matérialisation du rêve, de l’imaginaire, ce qui permet de rendre les visions secrètes visible.

PLATON estime que l’artiste est incapable de s’élever à la contemplation des principes des choses. Il s’inspire de ce qui apparaît pour en faire une copie, et même quand il copie, l’artiste n’est pas toujours fidèle; il ne représente pas toujours les choses telles qu’elles sont, même si on a l’impression que c’est la chose telle qu’elle apparaît qui est représenté. Paul KLEE, l'Art est dans l'interprétation des éléments qui lui sont offerts, nullement dans la copie littérale de tel ou tel détail mais c’est une magnifique construction de l'esprit, de l'imagination de L’artiste. Et c’est bien cela qui détermine l’œuvre et la pratique créatrice.

En conclusion, l’artiste doit aller au-delà de la nature, son art doit être l’expression de sa vision personnelle du monde, de son imagination, donc de son pouvoir créateur. 

Dès cet instant, j'ai commencé à lutter. Contre moi, contre le bon sens et la réalité.
Pouvait-on aimer de cette façon, aussi fort, aussi soudainement en dépit de toute raison,
de toute prudence ? Etait-ce bien moi, la solitaire, l'arrogante, la caustique qui éprouvait
une telle faim de cet Homme, un tel besoin de sa présence qu'à peine quitté
j'étais déjà en manque de lui ? "

1) Aperçu sur l’auteur

Guy de Maupassant, né le5 août 1850 au château de Miromesnil àTourville-sur-Arques^[] et mort le6 juillet 1893 àParis, est unécrivain français. il coule une enfance heureuse dans la campagne normande. Après des études de droit interrompues par la guerre de 1870, il commence une carrière de fonctionnaire à Paris. Peu assidu au travail, il découvre, sous l’influence de Gustave Flaubert sa vocation d’écrivain.Progressivement, la santé de Guy de Maupassant décline. Surmené et malade, il est interné et meurt à l’âge de 43 ans.

2) Aperçu sur l’ensemble de ses œuvres

En 1880, Guy de Maupassant publie sa première nouvelle, Boule-de-Suif. Dans ce coup d’essai, salué comme un chef-d’œuvre par ses contemporains, les thèmes chers au jeune écrivain sont déjà présents. Influencé par le réalisme de Gustave Flaubert et par l’approche naturaliste d’Émile Zola, il dépeint la réalité de la vie et souligne la cruauté des personnages qu’il met en scène. Pour lui, il n’est pas nécessaire de dénoncer les travers de la société, il suffit de les décrire pour faire réagir le lecteur.

Maupassant décide alors de se consacrer entièrement à son œuvre. En dix ans, il publie plus de 300 nouvelles et contes réunis en une quinzaine de recueils (dont les Contes de la bécasse en 1883) et 6 romans, alimentés par le même mépris du monde bourgeois, et dont se dégage un certain pessimisme social : Une Vie(1883) retrace le parcours de Jeanne, issue de la petite noblesse et trahie par tous ceux qu’elle aime ; dans Bel-Ami(1885), l’écrivain constate avec amertume que la réussite sociale est réservée aux seuls opportunistes.

3) Analyse de la nouvelle

· Personnage principaux :

- joseph Mouradour :

Méridional, républicain, audacieux, parlant sans retenue, sans gène, n’aimant ni les prêtres ni le pouvoir en place. Il critique tous le monde jusqu'à a mettre dans la gène ses hôtes, il dit ce qu’il pense sans se soucié des conséquence.

- M. de Méroul :

C’est un homme sérieux, calme, brave, mélancolique, regrettant souvent le passé sans vouloir rien changé, c’est un monarchiste qui se plains rarement, souvent gêné par le comportement de son ami mais respectueux de son invité ne dit jamais rien.

- Mme de Méroul

fille d’un châtelain, épouse dévoué, sans enfant, monarchiste aimant le pape et le roi. C’est une femme calme, elle a le même caractère droit et digne de son mari.

4) résumé

Monsieur et Madame de Méroul sont au début très heureux de recevoirdans leur château de Tourbeville l'ancien camarade de monsieur, Joseph Mouradour. Mais une différence de taille apparaît : le couple est monarchiste, tandis que Joseph est un républicain convaincu. Mouradour va petit à petit s'imposer dans la vie des Méroul, sans que ceux-ci arrivent à s'en débarrasser. et les empêche même de recevoir le curé et des amis légitimistes. Au lieu de le mettre à la porte, ils prétextent un voyage, le laissant dans leur demeure.

Les grandes âmes ont de la volonté,les faibles n'ont que des souhaits

Il pleure dans mon coeur
Comme il pleut sur la ville ;
Quelle est cette langueur
Qui pénètre mon coeur ?

Ô bruit doux de la pluie
Par terre et sur les toits !
Pour un coeur qui s'ennuie,
Ô le chant de la pluie !

Il pleure sans raison
Dans ce coeur qui s'écoeure.
Quoi ! nulle trahison ?...
Ce deuil est sans raison.

C'est bien la pire peine
De ne savoir pourquoi
Sans amour et sans haine
Mon coeur a tant de peine !

Quand un enfant perd ses parents

On dit que c’est un petit orphelin

Et on court, vite lui cherché une nouvelle famille

Deux nouveaux parents pour une nouvelle vie

Mais voila , il ya une chose étrange

C’est quand une maman perd son petit ange

Pas un seul mot pour décrire ca

Pour décrire cette déchirure en soi

Quand un papa enterre sa petite fille

On lui demande d’être fort et grand

Lui veut juste pleuré son enfant

Dites moi, mon dieu

Quand une petite fille de deux ans s’envole

Et que vous l’appelé a vous

C’est le paradis qui l’attend

Elle ne sera pas seule en haut

N’est ca pas, les anges prendront soi d’elle

Les anges prendront soin de la jolie Anaïs