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rosedesvents
Description du blog :
Venez découvrir mes souvenirs de voyage à travers le monde (n'hésitez pas à laisser un commentaire!)
Catégorie :
Blog Tourisme et Voyages
Date de création :
10.03.2006
Dernière mise à jour :
02.02.2009

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Par girardot, le 26.02.2012

um quais se situe tout au nord de la jordanie, près du lac de tibériade.htt p://rosedesven ts.centerblog. net
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Désert de Wahiba - 1000 Night Camp

Publié le 02/02/2009 à 12:00 par rosedesvents
Désert de Wahiba - 1000 Night Camp
J'aimerais dire un mot sur le campement où nous avons passé une nuit dans le désert de Wahiba (1000 Night Camp), car j'ai beaucoup apprécié sa conception. Comme je l'ai déjà écrit, il se situe à 40 km de la première route goudronnée et est accessible par une "piste" de sable dotée de panneaux répartis régulièrement pour indiquer la direction. Le camp en lui-même est composé de tentes traditionnelles avec des lits (pour le confort, c'est tout de même mieux!), auxquelles sont accolées des sanitaires à ciel ouvert avec douche et WC. Sur le site, il n'y a apparemment pas de générateur électrique (c'est beaucoup plus calme que le camp dans lequel nous avions dormi en Jordanie et fort agréable). Des petites lampes avec batterie sont fournies dans chaque tente et la cuisson se fait au feu de bois. La nourriture est d'ailleurs excellente et il vaut mieux qu'elle soit fournie, car ce serait un peu difficile de faire une "sortie" en ville juste pour aller manger et de revenir en voiture de nuit.

Par sa conception même, le camp oblige à ralentir le rythme dès que la nuit tombe. Il y a bien une terrasse commune éclairée utilisée entre autres pour les repas, mais la lumière n'est pas suffisante pour écrire des cartes postales ou lire un guide. Ca permet de faire une vraie pause, de prendre le temps de ne rien faire et de renouer avec le rythme de la nature. Je me dis souvent que nous avons des rythmes de dingues, que nous ne vivons pas assez en accord avec la nature. Ce qu'il faudrait (et que je ne fais pas moi-même bien sûr), c'est se coucher dès qu'il fait nuit et se lever dès qu'il fait jour. Dans cet endroit, on est amené à le faire et c'est très reposant. C'était d'ailleurs cocasse, car nous sommes allés mangés sur la terrasse commune sans prendre notre lampe et pour retourner à la tente, le chemin a été un peu chaotique, car l'obscurité régnait. Nous avons finalement retrouvé notre tente et nous nous sommes bien gardés de la quitter à nouveau.

Durant la nuit, nous avons pu entendre beaucoup de cris d'animaux. Ca faisait du bruit quand même ! mais ça ne m'a pas vraiment empêchée de dormir et puis, c'était amusant de se dire que finalement, l'endroit était très peuplé ! Le lendemain matin, nous avons d'ailleurs pu admirer le passage de nombreux insectes. La trace laissée sur le sable ressemblait un peu à des dessins au henné. C'était magnifique ! Un très grand souvenir pour moi !

Désert de Wahiba - mer de sable

Publié le 12/12/2008 à 12:00 par rosedesvents
Désert de Wahiba - mer de sable
Pour ceux qui comme moi gardent un souvenir ému de la mer de sable près d'Ermenonville (ah, l'attaque du train par les indiens !!!), je vous en propose une autre. Lorsque nous avons atteint notre campement dans le désert de Wahiba, nous avons rapidement fait le tour des lieux, ce qui était assez facile, étant donné qu'il y avait juste une série de tentes et des sanitaires accolés, un petit bâtiment réservé aux employés et une terrasse abritée. Le guide autochtone qui nous avait sauvé des griffes du sable nous a proposé un tour pour profiter du coucher du soleil. N'écoutant que notre courage, nous avons accepté et une autre voiture nous a rejoints par la même occasion. Nous avons donc repris la route en commençant par une pente imposante, mais mon chauffeur a vaillamment franchi l'obstacle (mais je l'ai beaucoup soutenu psychologiquement), puis nous avons poursuivi pendant une dizaine de minutes. Nous avons finalement atteint notre but, enfin les deux premières voitures, la troisième étant restée en bas de la dernière côte. Le guide a eu la gentillesse de redescendre à pied et de conduire la dernière voiture jusqu'au sommet. Nous avons ainsi pu profiter d'une magnifique mer de sable, s'étendant à perte de vue. Dans ces cas-là, le temps semble suspendu. Quoique ! En fait, tout le monde avait peur du chemin du retour et nous n'avons pas attendu l'obscurité complète pour redescendre au campement. J'étais soulagée de savoir que nous n'aurions plus à prendre le volant d'ici le lendemain !

Boutique dans le désert de Wahiba - suite

Publié le 12/12/2008 à 12:00 par rosedesvents
Boutique dans le désert de Wahiba - suite
Vous vous souvenez que je m'étais déchaussée pour entrer dans la hutte typique. Eh bien, j'ai eu la très mauvaise idée de vouloir prendre une photo de l'extérieur sans rechausser mes chaussures. Eh bien, ce qui devait arriver arriva...je me suis cramée les pieds à cause de la chaleur du sable. Profitez donc bien de cette photo, car j'ai payé de ma personne pour la prendre.

Boutique dans le désert de Wahiba

Publié le 12/12/2008 à 12:00 par rosedesvents
Boutique dans le désert de Wahiba
Sur la route (enfin, plutôt sur la piste) vers notre campement pour la nuit, nous avons fait une halte près d'une hutte typique d'Oman. Nous nous sommes déchaussés et nous sommes rentrés à l'intérieur, où l'on nous a servi du thé et des dattes. En fait, il s'agissait d'une "boutique", où une femme masquée selon la coutume (quelle torture avec cette chaleur !) présentait ses bracelets. Nous avons joué le jeu et acheté deux bracelets pour une somme tout à fait modique. Je n'ai même pas négocié le prix, car je n'aime pas me battre pour 0,50€ et puis, c'est une question de décence.

Al Mintirib - entrée dans le désert de Wahiba

Publié le 27/08/2008 à 12:00 par rosedesvents
Al Mintirib - entrée dans le désert de Wahiba
Nous avons déjeuné, fait le plein d'essence (nous nous doutions que nous avions peu de chance de trouver une station essence plus tard dans la journée) et pris la direction d'Al Mintirib pour rejoindre notre camp de nuit. Sur le papier, ça avait l'air facile, car les indications de l'agence de voyage parlaient de 40 km de pistes (fastoche, on en avait déjà emprunté les jours précédents et on s'était habitué à ce type de route). C'est donc confiante que j'ai pris le volant. Nous avons d'ailleurs facilement atteint l'entrée d'Al Mintirib et nous avons même vu un panneau indiquant notre camp (1000 Nights Camp). Nous avons commencé à traverser le village et là, je me suis crue dans le sketch de Laurent Gerra imitant Johnny Halliday : "Ils avaient mis du sable partout !". Tout d'abord, c'était par petites touches, jusqu'à recouvrir complètement la route et ensuite, il n'y a plus eu de route. Là, j'ai commencé à comprendre. Il ne s'agissait pas de 40 km de pistes mais...de sable et c'est nettement plus difficile. En fait, il est impossible de garder un cap droit. La voiture n'arrêtait pas de partir à gauche ou à droite et c'était très inconfortable. Mais je n'ai pas vraiment eu le temps de me remettre de ma surprise et de m'exercer, car les vraies difficultés sont tout de suite arrivées. Nous avions parcouru quelques centaines de mètres dans le sable, quand nous avons vu apparaître une pente assez importante et ce qui devait arriver arriva : la voiture a refusé de poursuivre son chemin. J'ai bien essayé de la faire avancer tout en sachant bien (pour avoir bien fréquenté les routes verglacées d'Alsace plusieurs hivers) qu'il est inutile d'accélérer trop une fois qu'on commence à glisser et puis, je n'ai pas trop insisté, car une odeur épouvantable est apparue (j'ai appris par la suite que c'était l'embrayage).

Nous étions donc seuls en plein désert à 16h à 40 km de notre destination avec une boite de petits beurres et de l'eau quand même, mais je n'étais pas fière, car la chaleur était intense. Heureusement, il y a des fois où la chance est avec nous, car 5 minutes plus tard, un 4x4 est passé à notre hauteur. En fait, lui avait anticipé la pente et avait pris un "chemin" plus pratique. Quand j'ai vu qu'il redescendait la pente pour nous rejoindre, je crois que j'aurais embrassé son chauffeur. En fait, il s'agissait d'un couple typiquement Bruxellois (une Espagnole et un Suédois), accompagné de leur guide autochtone. Là, le guide nous a expliqué un truc de base que je ne suis pas prête d'oublier : quand on roule sur le sable, il faut dégonfler les pneus et il s'est tout de suite attelé à la tâche à l'aide d'une allumette (la vie tient parfois à peu de choses). Il nous a également expliqué qu'il était déjà venu à la rescousse d'un groupe allemand, qui lui lui avait attendu 4 heures sous le soleil.

Le reste du parcours s'est passé comme dans du beurre (si je puis m'exprimer ainsi). Déjà, j'ai judicieusement cédé ma place de chauffeur, ce qui m'a permis de bien profiter du paysage magnifique autour de nous et puis, nous nous sommes laissés guider, ce qui était nettement plus confortable, car dans le désert, il n'y a pas 1 trace, mais plusieurs et il n'est pas toujours évident de savoir laquelle suivre. De temps en temps, il y avait des panneaux indiquant la direction du camp, mais pas si souvent que ça et puis, le soleil était encore radieux, alors que certains touristes sont arrivés au camp de nuit ! En tout cas, cette traversée dans le désert s'est finalement bien terminée pour nous (heureusement).

Région de Sharqiya - Bilad bani Bu Ali

Publié le 20/07/2008 à 12:00 par rosedesvents
Région de Sharqiya - Bilad bani Bu Ali
Voici la photo d'un fort (plus utilisé) et d'une mosquée qu'on devine derrière et qui elle est encore utilisée.
Lequel des deux bâtiments semble être dans le meilleur état ?

Région de Sharqiya - Bilad bani Bu Ali

Publié le 20/07/2008 à 12:00 par rosedesvents
Région de Sharqiya - Bilad bani Bu Ali
Vous auriez pris les escaliers que l'on voit sur la photo ? Eh bien, moi je suis joueuse et j'adore crapahuter !

Région de Sharqiya - Bilad bani Bu Ali

Publié le 20/07/2008 à 12:00 par rosedesvents
Région de Sharqiya - Bilad bani Bu Ali
Entre Ras Al Hadd et le désert de Wahiba, il y avait deux sites dignes d'intérêt (d'après le guide papier) : deux villes jumelles, Bilad bani Bu Hassan et Bilad bani Bu Ali, remarquables pour leurs forts et maisons fortifiées. La route y conduisant était goudronnée et donc tout à fait confortable. Nous avons d'ailleurs rejoint cette étape avec beaucoup de facilité, mais c'est là que les choses se sont corsées. Nous avons bien vu le panneau indiquant le fort à visiter, mais, comme nous allions le découvrir par la suite, à Oman, les indications sont rares et les ronds-points nombreux. Donc, soit on est accompagné d'un guide, soit on a beaucoup de chance, soit comme nous, on tourne en rond pendant 1 heure sans jamais trouver l'objectif. Là, j'ai vraiment regretté de ne pas être accompagnée d'un guide. En plus, nous étions partis tôt pour pouvoir visiter le fort (il fermait à 14h), mais ça n'a servi à rien. Enfin, pas tout à fait, car la ville de Bilad bani Bu Ali (à moins que ce ne soit sa soeur, car la limite entre les deux est vraiment très floue) contient une cité fantôme. C'est assez drôle d'ailleurs, car les habitations inoccupées côtoient le village encore vivant. C'est ainsi que nous avons pu découvrir cet endroit étonnant en toute quiétude et nous nous sommes mêmes amusés à monter des escaliers (il fallait être un peu joueur, car ils étaient en assez mauvais état) pour avoir une vue dominante. Le lieu semblait complètement déserté. En fait, il était autour de midi et il fallait être touriste et/ou un peu marteau pour se promener sous le soleil à cet heure de la journée. Les Omanais, qui eux sont des gens censés, se calfeutrent aux heures les plus chaudes de la journée et ne ressortent qu'en fin d'après-midi.

Ras Al Hadd - petit déjeuner en face de la mer

Publié le 14/07/2008 à 12:00 par rosedesvents
Ras Al Hadd - petit déjeuner en face de la mer
Nous avons pris notre petit-déjeuner en face de la mer en contemplant des barques typiques en bois. C'était très agréable.

Avant de quitter Ras Al Hadd, nous avons jeté un dernier coup d'oeil à l'horizon. Je ne saurais dire si la température de l'eauétait élevée, ce qui est un peu dommage, mais une longue journée de route nous attendait, le but étant d'atteindre un camp installé dans le désert de Wahiba.

Ras Al Hadd - ponte des tortues

Publié le 25/06/2008 à 12:00 par rosedesvents
Ras Al Hadd - ponte des tortues
Nous avons finalement atteint Ras Al Hadd et nous étions soulagés d'avoir atteint notre escale après une longue journée de route. Nous étions les derniers arrivés et le dîner allait commencer. L'hôtel était assez original, car il était constitué de petites cahutes individuelles en bois à l'isolation phonique limitée (on pouvait même profiter de la conversation des occupants). Le décor était sympathique, mais l'hôtel était conçu pour ne pas trop perturber un touriste occidental. Nous avons ainsi dégusté des spaghetti (aucun plat local proposé) et nous avons aussi pu profiter de la macarena. Les touristes étaient pour la plupart allemands et italiens (nous étions les seuls français). J'ai surtout été étonnée par le nombre de familles avec des enfants entre 7 et 10 ans.

Nous n'avons pas vraiment eu le temps de souffler, car juste après le repas, certains partaient voir les tortues et nous avons profité de leur déplacement pour les suivre. Le lieu d'observation n'était pas très éloigné, mais repérer le chemin de nuit aurait été ardu. Le trajet n'était pas de tout repos, car les guides locaux en 4x4 roulaient à fond la caisse. Heureusement que le nombre de véhicules était limité sur la route. En tout cas, je n'étais pas très rassurée, car je n'aime pas foncer.

Après plusieurs kilomètres de course poursuite (17 exactement), nous avons atteint la réserve naturelle de tortues de Ras Al Jinz. Je ne me souviens plus du prix d'entrée, mais il était dérisoire et je me suis dit qu'une fois le tourisme bien lancé dans ce pays, il augmenterait sûrement. A l'entrée, on nous a indiqué un grand "parking" où garer notre voiture. Certains étaient même venus en caravane ou avaient sorti la tente. Ce n'était pas vraiment la saison de ponte (elle s'étend de juin à novembre) et j'avais un peu peur d'être venue pour rien, car j'avais le souvenir d'une soirée entière passée en Malaisie à attendre vainement l'arrivée d'une tortue. Nous avons attendu sur le parking à peu une demi heure, puis les gardes de la réserve sont venus nous chercher. Nous sommes descendus sur la plage et nous avons pu profiter du spectacle magnifique de la nature. De nombreuses tortues avaient fait le déplacement. On pouvait les voir sortir de l'eau, se déplacer sur la plage, pondre, puis repartir vers la mer (enfin par petits bouts, car l'opération prend globalement 1h30). Le plus impressionnant était de voir la ponte en elle-même avec la chute des oeufs sur le sable. C'est très émouvant de voir un être qui donne la vie. Le spectacle m'a bouleversée, car je l'ai trouvé très beau. Ca m'a rappelé la naissance de mes filles, même si je ne joue pas dans la même catégorie que les tortues. Moi, je n'en ai fait que 2 en même temps, tandis que la tortue pond une centaine d'oeufs ! J'en garde un souvenir très attachant. Je les revois partir à la mer après avoir soigneusement refermé le trou et camouflé l'endroit. Elles ont accompli leur tâche, puis ont disparu dans la nuit.

Je n'ai pas de photo de cette soirée, car je tenais à respecter leur quiétude. Je ne parle pas des meutes de touristes qui ont filmé en pointant les pauvres animaux avec des rayons laser, qui ont photographié avec flash ou qui ont carrément sorti les lampes de poche pour repérer les animaux dans l'eau. Heureusement pour elles, les gardes ont fini par nous diriger vers la sortie en indiquant que nous pouvions revenir le lendemain à partir de 5h. Ca devait valoir le coup en dormant sur place, mais nous n'avons pas eu le courage (et puis, il fallait bien se reposer un peu).
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