Poètes — Carlos Drummond de Andrade
Poètes — Carlos Drummond de Andrade
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Le monde est grand (Carlos Drummond de Andrade)
Le monde est grand et tient dans cette fenêtre sur la mer. La mer est grande et tient dans le lit et la couche où s’aimer. L’amour est grand et tient dans le... Lire la suite
Le 07 juin 2010 par Arbrealettres
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L’an passé (Carlos Drummond de Andrade)
L’an passé L’an passé n’a pas passé, il continue incessamment. En vain je fixe de nouveaux rendez-vous. Tous sont rendez-vous passés. Lire la suite
Le 07 juin 2010 par Arbrealettres
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Le Plein et le Vide (Carlos Drummond de Andrade)
Le Plein et le Vide Oh si je me souviens et combien. Et si je ne me souvenais pas? Autre serait mon âme, bien différent mon visage. Oh comme j’oublie et combien... Lire la suite
Le 07 juin 2010 par Arbrealettres
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Absence (Carlos Drummond de Andrade)
Absence Pendant longtemps j’ai cru que l’absence est manque. Et je déplorais, ignorant, ce manque. Aujourd’hui je ne le déplore plus. Il n’y a pas de manque dan... Lire la suite
Le 07 juin 2010 par Arbrealettres
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La minute suivante (Carlos Drummond de Andrade)
La minute suivante Nudité, dernier voile de l’âme qui cependant demeure celée. Le langage fertile du corps ne la détecte ni la déchiffre. Lire la suite
Le 07 juin 2010 par Arbrealettres
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La métaphysique du corps (Carlos Drummond de Andrade)
La métaphysique du corps La métaphysique du corps s’entr’aperçoit dans les images. L’âme du corps module en chaque fragment sa musique de sphères et d’essences... Lire la suite
Le 07 juin 2010 par Arbrealettres
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Aliment (Carlos Drummond de Andrade)
Aliment Assis au banquet des Muses, mon couvert fut très frugal, inapaisée fut ma faim. C’était une ration pour oiseau, cuiller presque vide… Pourtant surgissai... Lire la suite
Le 05 juin 2010 par Arbrealettres
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Merci (Carlos Drummond de Andrade)
Merci À ceux qui me font place dans le tramway quand je ne sais d’où je les connais, à ceux qui me disent adieu gentiment, sans que je connaisse leur nom... Lire la suite
Le 05 juin 2010 par Arbrealettres
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Victoire (Carlos Drummond de Andrade)
Victoire I Comme si je voulais abattre en soufflant une tour de fer. Comme si j’espérais entrer dans ses yeux et me sourire. Comme si j’éprouvais pour moi... Lire la suite
Le 05 juin 2010 par Arbrealettres
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Amour, signal étrange (Carlos Drummond de Andrade)
Amour, signal étrange Je les aime trop, sans savoir que je les aime, les filles en route pour la prière. Tombée du jour. Elles non plus ne se savent pas aimées... Lire la suite
Le 05 juin 2010 par Arbrealettres
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Coin d’Ombre (Carlos Drummond de Andrade)
Coin d’Ombre Le coin d’ombre et d’humidité dans le potager. Du mur de pierre dégoutte le filet d’eau, doucement, sur le vert moussu, éternellement. Lire la suite
Le 05 juin 2010 par Arbrealettres
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Vie petite vie (Carlos Drummond de Andrade)
Vie petite vie La vieille fille et son pied de bégonia la vieille fille et son chat tout gris la vieille fille et son gâteau aux amandes la vieille fille et... Lire la suite
Le 05 juin 2010 par Arbrealettres
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Temps au soleil (Carlos Drummond de Andrade)
Temps au soleil Assis sur leur seuil prennent le soleil de vieux commerçants sans clients. C’est un soleil fait pour eux: mitigé, peu empressé de brûler. Le... Lire la suite
Le 05 juin 2010 par Arbrealettres
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L’Île (Carlos Drummond de Andrade)
L’Île Dessus les quatre bancs de ciment de l’île du Parc sont installés avec tenue des plus réservées pudiques quatre couples d’amants. Lire la suite
Le 05 juin 2010 par Arbrealettres
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Cours de Français (Carlos Drummond de Andrade)
Cours de Français Cette Hélène qui trouble et l’Europe et l’Asie, mais le professeur est distrait, il ne voit pas que toute la classe s’éloigne des sévères... Lire la suite
Le 05 juin 2010 par Arbrealettres
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Le jour jaillit de l’Eau (Carlos Drummond de Andrade)
Le jour jaillit de l’Eau La fontaine de l’Aurore fait naître le soleil. L’eau est toute or de ce mot blond. La fontaine de l’Aurore, dans l’iridescence... Lire la suite
Le 05 juin 2010 par Arbrealettres
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Négresse (Carlos Drummond de Andrade)
Négresse La négresse à tout la négresse à tous la négresse à couper le foin à planter arroser cueillir charger amasser au grenier ensacher laver repasser... Lire la suite
Le 05 juin 2010 par Arbrealettres
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Eau-Couleur (Carlos Drummond de Andrade)
Eau-Couleur Liquide est le Pays de la Couleur; il est dans l’aniline des bocaux de pharmacie. Tout juste un regard, et je plane sur le vert non pas le vert... Lire la suite
Le 05 juin 2010 par Arbrealettres
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Premier Conte (Carlos Drummond de Andrade)
Premier Conte L’enfant qui a le tourment non du pouvoir ou de gloire mais de délivrer la chose dans son cœur dissimulée écrit sur son cahier et raconte vaguemen... Lire la suite
Le 05 juin 2010 par Arbrealettres
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Vers de Dieu (Carlos Drummond de Andrade)
Vers de Dieu I Si tu ressens chez les oiseaux autant de liberté et d’aérien pouvoir, imagine un oiseau supérieur à tous les autres et invisible à ce point que... Lire la suite
Le 05 juin 2010 par Arbrealettres
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La Mort à cheval (Carlos Drummond de Andrade)
La Mort à cheval À cheval au galop à cheval au galop à cheval au galop c’est la mort qui rapplique. À cheval au galop à cheval au galop en lançant son lasso... Lire la suite
Le 05 juin 2010 par Arbrealettres
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Evocation (Carlos Drummond de Andrade)
Evocation A l’ombre de l’usine, ton jardin était tout petit, sans fleurs. Des plantes y naissaient et renaissaient pour n’être pas regardées. Lire la suite
Le 05 juin 2010 par Arbrealettres
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La double situation (Carlos Drummond de Andrade)
La double situation Un silence aussi parfait que celui qui vient de tomber: signe que déjà nous mourons ou que nous ne sommes pas même arrivés encore à la Terre... Lire la suite
Le 05 juin 2010 par Arbrealettres
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Nous sommes le paysage du paysage (Carlos Drummond de Andrade)
Ouvrir un portail. Il grince. Indifférent. Une vache-silence. Je ne la regarde même pas. Un jour ce silence-vache, ce grincement battront en moi, parfaits,... Lire la suite
Le 04 juin 2010 par Arbrealettres
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Durée (Carlos Drummond de Andrade)
Durée Le temps était-il bon? Le temps n’était pas. Il est, pour toujours. Le lierre de l’ère d’antan infatigablement suinte. C’est arrivé voilà mille ans? Ça... Lire la suite
Le 04 juin 2010 par Arbrealettres
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Elle n’est pas venue (Carlos Drummond de Andrade)
Elle n’est pas venue. J’affirme que non. Tout n’a été qu’essais, tests, illustrations. La vraie vie souriait au loin, indéchiffrable. J’ai laissé tomber. Je me... Lire la suite
Le 04 juin 2010 par Arbrealettres
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Corporel (Carlos Drummond de Andrade)
Corporel L’arabesque en forme de femme balance des feuilles tendres sur le blanc de la peau. Elle transmue des cuisses en rythmes, des genoux en tulipes. Et ell... Lire la suite
Le 04 juin 2010 par Arbrealettres
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Pour Toujours (Carlos Drummond de Andrade)
Pour Toujours Pourquoi Dieu permet-il que les mères s’en aillent? La mère est sans limite, c’est le temps sans cadran, la lueur qui résiste lorsque souffle le... Lire la suite
Le 04 juin 2010 par Arbrealettres
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Destruction (Carlos Drummond de Andrade)
Destruction Ils s’aiment cruellement les amants et, de tant s’aimer, ils ne se voient pas. L’un s’embrasse sur l’autre, réfléchi. Deux amants, que sont-ils? Deu... Lire la suite
Le 04 juin 2010 par Arbrealettres
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Sonnets du Passereau (Carlos Drummond de Andrade)
Sonnets du Passereau I Aimer un petit passereau est chose folle. Il tournoie libre dans la longue cage bleue à m’en oppresser la poitrine, tandis que le peu de... Lire la suite
Le 04 juin 2010 par Arbrealettres
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Confrontation (Carlos Drummond de Andrade)
Confrontation Amour a frappé à la porte de Folie. “ "Laisse-moi entrer, je suis ton frère, a-t-il dit. Toi seule laveras la fangeuse infamie dans laquelle par m... Lire la suite
Le 04 juin 2010 par Arbrealettres
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Le Nom (Carlos Drummond de Andrade)
Le Nom L’océan s’est enflé, en entendant un nom. Les fauves ont fait silence. Du haut des monts, une rumeur rouge et panique a dévalé sur la ville, telle une... Lire la suite
Le 04 juin 2010 par Arbrealettres
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La passion mesurée (Carlos Drummond de Andrade)
La passion mesurée Trochée je t’ai aimé, avec une tendresse dactyle et un geste spondée. Tes iambes aux miens avec force j’ai entrelacés. En un jour... Lire la suite
Le 04 juin 2010 par Arbrealettres
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L’existence supposée (Carlos Drummond de Andrade)
L’existence supposée Le lieu, comment est-il tandis que personne n’y passe? Les choses, existent-elles quand elles ne sont pas vues? Lire la suite
Le 04 juin 2010 par Arbrealettres
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La Feuille (Carlos Drummond de Andrade)
La Feuille La nature, il y en a deux. L’une, telle qu’elle se sait elle-même. L’autre, celle que nous voyons. Mais voyons-nous? Ou bien n’est-ce que l’illusion... Lire la suite
Le 04 juin 2010 par Arbrealettres
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La salle de bains (Carlos Drummond de Andrade)
La salle de bains La colombe se pose sur la bascule assiste au jaillissement de l’eau à la chanson des robinets au glissiglisser des savons à la purification de... Lire la suite
Le 04 juin 2010 par Arbrealettres
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La chambre de Pedro (Carlos Drummond de Andrade)
La chambre de Pedro Des mobiles en or de la Place du Général Osorio balancent dans l’air de Pierre des nouvelles du Brésil. La chambre flotte entre posters et... Lire la suite
Le 04 juin 2010 par Arbrealettres
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Eté Carioca 73 (Carlos Drummond de Andrade)
Eté Carioca 73 Le char du soleil promène ses roues d’incendie sur les corps et les esprits, et les foudroie. Restent, sous le massacre, des esquilles de... Lire la suite
Le 04 juin 2010 par Arbrealettres
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Librairie (Carlos Drummond de Andrade)
Librairie Au bas de la spirale qui en dissimule l’accès par les jets d’eau d’une fontaine, et sous le poids du concret de vingt étages, le magasin souterrain... Lire la suite
Le 04 juin 2010 par Arbrealettres
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Conclusion (Carlos Drummond de Andrade)
Conclusion Les impacts de l’amour ne sont pas poésie (ils ont tenté de l’être: aspiration nocturne). Mémoire enfantine et pauvreté automnale se déversent dans l... Lire la suite
Le 03 juin 2010 par Arbrealettres
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La chambre en désordre (Carlos Drummond de Andrade)
La chambre en désordre Au virage périlleux de la cinquantaine J’ai dérapé sur cet amour. Quelle douleur! quel sensible et secret pétale me tourmente et me... Lire la suite
Le 03 juin 2010 par Arbrealettres
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Chant noir (Carlos Drummond de Andrade)
Chant noir Au-dessus du puits tout noir je me penche, et rien ne vois. Pour sûr j’ai perdu les yeux que j’avais enfant. Pour sûr, je les ai perdus. Lire la suite
Le 03 juin 2010 par Arbrealettres
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Entre l’Etre et les Choses (Carlos Drummond de Andrade)
Entre l’Etre et les Choses Eau et amour, ohé l’amour, où est l’amour, demandé-je au vent large, à la roche impérieuse, et je me livre à tout, quand dans cette... Lire la suite
Le 03 juin 2010 par Arbrealettres
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Aimer (Carlos Drummond de Andrade)
Aimer Que peut une créature sinon, entre créatures, aimer? aimer et oublier, aimer et malaimer, aimer, désaimer, aimer? aimer, et le regard fixe même, aimer? Lire la suite
Le 03 juin 2010 par Arbrealettres
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Ouvroir irrité (Carlos Drummond de Andrade)
Ouvroir irrité Je veux composer un sonnet qui soit dur comme nul poète en n’oserait écrire. Un sonnet je veux peindre qui soit obscur, qui soit sec, confiné,... Lire la suite
Le 03 juin 2010 par Arbrealettres
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Mémoire (Carlos Drummond de Andrade)
Mémoire Aimer le perdu laisse confondu ce coeur qui est mien. Rien ne peut l’oubli contre le défi absurde du Non. Les choses tangibles se font insensibles à... Lire la suite
Le 03 juin 2010 par Arbrealettres
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Legs (Carlos Drummond de Andrade)
Legs Je ne laisserai de moi aucun hymne radieux, aucune voix matinale palpitant dans la brume qu’une secrète épine puisse arracher à quelqu’un. Lire la suite
Le 03 juin 2010 par Arbrealettres
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Le non-gai savoir (Carlos Drummond de Andrade)
Le non-gai savoir La maturité, terrible cadeau qu’on nous fait, en nous prenant avec elle toute saveur gratuite de l’offrande sous la froideur glaciale d’une... Lire la suite
Le 03 juin 2010 par Arbrealettres
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Mort en avion (Carlos Drummond de Andrade)
Mort en avion Je m’éveille pour la mort. Je me rase, m’habille, me chausse. C’est mon dernier jour: un jour entamé d’aucun pressentiment. Tout fonctionne comme... Lire la suite
Le 03 juin 2010 par Arbrealettres
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Je me tais, j’attends, je déchiffre (Carlos Drummond de Andrade)
Je me tais, j’attends, je déchiffre. Les choses peut-être s’améliorent. Elles sont si solides les choses! Mais je ne suis pas les choses et me révolte. Lire la suite
Le 03 juin 2010 par Arbrealettres
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La rue de l’enfance a déménagé (Carlos Drummond de Andrade)
La rue de l’enfance a déménagé. Et la robe rouge rouge couvre la nudité de l’amour, à la belle étoile, dans le vallon. D’obscurs symboles se multiplient. Guerre... Lire la suite
Le 03 juin 2010 par Arbrealettres
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Approche et contemple les mots (Carlos Drummond de Andrade)
Approche et contemple les mots. Chacun d’eux a mille faces secrètes sous sa face neutre et te demande, sans égard pour la réponse, pauvre ou terrible, que tu lu... Lire la suite
Le 03 juin 2010 par Arbrealettres
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Pour quoi tant de jambe (Carlos Drummond de Andrade)
Les maisons épient les hommes qui courent après les femmes. La soirée serait bleue peut-être, ne fussent tous ces désirs. Le tram passe plein de jambes: jambes... Lire la suite
Le 03 juin 2010 par Arbrealettres
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Au milieu du chemin j’avais une pierre (Carlos Drummond de Andrade)
Au milieu du chemin j’avais une pierre j’avais une pierre au milieu du chemin j’avais une pierre au milieu du chemin j’avais une pierre. Jamais je n’oublierai... Lire la suite
Le 02 juin 2010 par Arbrealettres
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Tournesol (Carlos Drummond de Andrade)
Tournesol Ah ce tournesol du jardin public de Palmira. Tu te rendais en voiture à Juiz de Fora; tu n’avais plus d’essence; Il y avait un salon de coiffure; un... Lire la suite
Le 02 juin 2010 par Arbrealettres
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Congrès international de la peur (Carlos Drummond de Andrade)
Congrès international de la peur Provisoirement nous ne chanterons pas l’amour, qui s’est réfugié plus bas que les souterrains. Lire la suite
Le 02 juin 2010 par Arbrealettres
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Grand monde (Carlos Drummond de Andrade)
Grand monde Non, mon coeur n’est pas plus grand que le monde. Il est bien plus petit. En lui pas même ne tiennent mes douleurs. C’est pourquoi j’aime tant à me... Lire la suite
Le 02 juin 2010 par Arbrealettres
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Nécrologie des désenchantés de l’amour
Les désenchantés de l’amour se tirent des balles dans le coeur. De ma chambre j’entends les coups de feu. Les bien-aimées se tordent de jouissance. Oh que de... Lire la suite
Le 22 octobre 2012 par Vertuchou
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Consolation sur la plage
Allons, ne pleure pas… L’enfance est perdue La jeunesse est perdue Mais la vie n’est pas perdue. Le premier amour est passé Le deuxième est passé Le troisième... Lire la suite
Le 13 avril 2012 par Vertuchou
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Cinéma : présence marquante du cinéma brésilien au Fest’Afilm 2011
Vernissage le 26 novembre à 19H à l’Espace Jacques d’Aragon - RichterCérémonie d’ouverture le 1er décembre à 18H30- Centre RabelaisDu 1er au 4 décembre à... Lire la suite
Le 21 novembre 2011 par Conte
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L'Heure dite, d'Henri Deluy (par Denis Heudré)
Avec L'heure dite édité dans la belle collection Poésie/Flammarion, Henri Deluy poursuit le mouvement engagé avec Arbres noirs . L'heure est donc au bilan. Lire la suite
Le 08 novembre 2011 par Florence Trocmé
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Portrait d’une ville (Carlos Drummond de Andrade)
Portrait d’une ville Elle porte nom de rivière cette ville où les rivières jouent à cache-cache. Ville faite de montagne indissolublement mariée à la mer. Lire la suite
Le 07 juin 2010 par Arbrealettres
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Parlerie de la vie (Carlos Drummond de Andrade)
Parlerie de la vie Comme la vie se mue. Comme est la vie muette. Comme la vie est nue. Comme la vie est nulle. Comme la vie est tout. Tout cela qui se perd... Lire la suite
Le 05 juin 2010 par Arbrealettres
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Exposition "Portrait de Brésiliens" par Alécio de Andrade
L’exposition de portraits que présente l’Ambassade du Brésil (Du 2 octobre au 14 novembre 2008) est intéressante à bien des égards : elle montre d’abord un... Lire la suite
Le 20 octobre 2008 par Marcmenant
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