Auteurs — Pablo Neruda
Auteurs — Pablo Neruda
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RĘVE DE CHATS de Pablo Neruda
Space Space Qu'un chat qui dort est joli, il dort avec des pattes et un poids, il dort avec ses ongles cruels, et avec son sang sanguinaire, il dort avec... Lire la suite
Le 11 mars 2015 par Pestoune
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Lamentation lente de Pablo Neruda
Dans la nuit du coeur la lente goutte de ton nom glisse et tombe et brise et déploie en silence son eau. Légère sa blessure exige quelque chose et sa déférence... Lire la suite
Le 24 octobre 2014 par Pestoune
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Il meurt lentement (Pablo Neruda)
Il meurt lentement Celui qui ne voyage pas, Celui qui ne lit pas, Celui qui n’écoute pas de musique, Celui qui ne sait pas trouver Grâce à ses yeux. Lire la suite
Le 12 août 2014 par Do22
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Sonnet 47 de Pablo Neruda
Voici le sonnet 47 de La Centaine d’amour de Pablo Neruda. Sonnet 47 Je me retourne et veux te voir, dans la ramée. Voici que peu à peu tu es devenue... Lire la suite
Le 20 juillet 2014 par Etcetera
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"En cette histoire je n'arrive qu'à mourir et si je meurs d'amour, c'est parce...
Il fallait bien faire appel à Pablo Neruda pour nous parler du roman du jour. Parce que ce livre, s'il se passe dans un pays fictif, se déroule dans un pays... Lire la suite
Le 20 juin 2014 par Christophe
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Sonnet 25 de Pablo Neruda
** Sonnet 25 ** Mon amour, avant de t’aimer je n’avais rien : j’hésitai à travers les choses et les rues : rien ne parlait pour moi et rien... Lire la suite
Le 10 mai 2014 par Etcetera
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Sonnet 21 – Un poème d’amour de Pablo Neruda
Ce sonnet fait partie de La Centaine d’amour, le célèbre recueil de Pablo Neruda, que l’on trouvera dans la collection Poésie/Gallimard. Lire la suite
Le 28 novembre 2013 par Etcetera
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Un poème d’amour de Pablo Neruda
J’ai trouvé ce poème dans le livre La Centaine d’amour (1960), publié chez Poésie/Gallimard. Ce poème fait, plus exactement, partie du recueil Midi. Lire la suite
Le 10 novembre 2013 par Etcetera
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Pablo Neruda, poèmes
Madrid 1936 . Madrid seule et solennelle, Juillet t’avait surprise avec ton allégresse de ruche pauvre: claire était ta rue, clair était ton rêve. Lire la suite
Le 05 octobre 2012 par Poesiemuziketc
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Pablo Neruda – Les vies (Las vidas, 1952)
Ah ! comme je te sens parfois agacée contre moi, vainqueur au milieu des hommes ! Et cela car tu ne sais pas que ma victoire est celle aussi de milliers de... Lire la suite
Le 07 septembre 2012 par Stéphane Chabrières
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Pablo Neruda – Fable de la sirène et des ivrognes (Fábula De La Sirena Y Los...
Tous ces messieurs étaient là-bas Lorsqu’elle entra complètement nue Ils avaient bu et commencèrent à lui cracher dessus Elle ne comprenait rien, elle sortait... Lire la suite
Le 02 septembre 2012 par Stéphane Chabrières
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Pablo Neruda – Il meurt lententement celui qui…
IL MEURT LENTEMENT CELUI QUI…. Il meurt lentement celui qui ne voyage pas, celui qui ne lit pas, celui qui n’écoute pas de musique, celui qui ne sait pas trouve... Lire la suite
Le 28 juin 2012 par Faiza
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Pablo Neruda : "quand il est mort le poète...."
Pablo Neruda et l'oiseleur par Supervielle Il meurt lentement celui Il meurt lentement celui qui ne voyage pas, celui qui ne lit pas, celui qui n’écoute pas de... Lire la suite
Le 05 janvier 2012 par Marine8888
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Pablo Neruda peut (encore) reposer en paix
Après la chute de Pinochet, le corps de Pablo Neruda a pu être inhumé en bord de mer, à la Isla Negra, la maison qu'il préférait et où il a écrit bon nombre de... Lire la suite
Le 21 juin 2011 par Anthony Quindroit
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Belle (Pablo Neruda)
Belle Belle, pareil à l’eau qui sur la pierre fraîche de la source ouvre son grand éclair d’écume, est ton sourire, belle. Belle, aux fines mains, aux pieds... Lire la suite
Le 09 avril 2011 par Arbrealettres
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L’infinie (Pablo Neruda)
L’infinie Tu vois ces mains ? Elles ont mesuré la terre, elles ont séparé minéraux et céréales, elles ont fait la paix, la guerre, abattu les distances de toute... Lire la suite
Le 09 avril 2011 par Arbrealettres
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Le vent dans l’île (Pablo Neruda)
Le vent dans l’île Le vent est un cheval: écoute comme il court travers mer et ciel. Pour m’emmener : écoute comme il parcourt le monde pour m’emmener au loin. Lire la suite
Le 09 avril 2011 par Arbrealettres
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La nuit dans l’île (Pablo Neruda)
La nuit dans l’île Toute la nuit j’ai dormi avec toi près de la mer, dans l’île. Sauvage et douce tu étais entre le plaisir et le sommeil, entre le feu et l’eau. Lire la suite
Le 09 avril 2011 par Arbrealettres
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L’inconstant (Pablo Neruda)
L’inconstant Mes yeux s’en sont allés derrière une brunette qui passait. Était de nacre noire, était raisin violet. De sa traîne de feu elle a fouetté mon... Lire la suite
Le 09 avril 2011 par Arbrealettres
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Ton rire (Pablo Neruda)
Ton rire Tu peux m’ôter le pain, m’ôter l’air, si tu veux : ne m’ôte pas ton rire. Ne m’ôte pas la rose, le fer que tu égrènes ni l’eau qui brusquement éclate... Lire la suite
Le 09 avril 2011 par Arbrealettres
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Mains (Pablo Neruda)
Mains Lorsque tes mains s’envolent, mon amour, vers les miennes, que m’apporte leur vol ? Pourquoi s’être arrêtées brusquement sur ma bouche, se faisant... Lire la suite
Le 08 avril 2011 par Arbrealettres
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Tes pieds (Pablo Neruda)
Tes pieds Quand je ne peux regarder ton visage je regarde tes pieds. Tes pieds. Leur os cambré. Tes deux petits pieds durs. Je sais bien qu’ils te portent et qu... Lire la suite
Le 08 avril 2011 par Arbrealettres
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8 septembre (Pablo Neruda)
8 septembre Aujourd’hui, notre temps a été coupe pleine, aujourd’hui, notre temps a été vague immense, aujourd’hui, terre entière. Lire la suite
Le 08 avril 2011 par Arbrealettres
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La reine (Pablo Neruda)
La reine Je t’ai proclamée reine. Il en est de plus grandes que toi, de plus grandes. Il en est de plus pures que toi, de plus pures. Il en est de plus belles... Lire la suite
Le 08 avril 2011 par Arbrealettres
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En toi la terre (Pablo Neruda)
En toi la terre Petite rose, rose menue, parfois, minuscule et nue, on dirait que tu tiens dans une seule de mes mains, que je vais t’y emprisonner et à ma... Lire la suite
Le 08 avril 2011 par Arbrealettres
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AU VENT SUR LA PIERRE (Pablo Neruda)
AU VENT SUR LA PIERRE Sur le rocher nu et dans les cheveux un vent de pierre et de vague. Tout a mué au fil des heures. Le sel a été lumière salée, la mer a... Lire la suite
Le 07 avril 2011 par Arbrealettres
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LA TORTUE (Pablo Neruda)
LA TORTUE La tortue qui marcha si longtemps et qui vit tant et tant avec ses yeux si vieux, la tortue qui mangea des olives des grands fonds, la tortue qui nage... Lire la suite
Le 07 avril 2011 par Arbrealettres
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LA CREATION (Pablo Neruda)
LA CREATION Cela survint au sein du grand silence lorsque l’herbe naissait, la lumière venait de se déprendre créant le vermillon et les statues, alors dans la... Lire la suite
Le 07 avril 2011 par Arbrealettres
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JE REVIENDRAI (Pablo Neruda)
JE REVIENDRAI Un jour, voyageur — homme ou femme —, plus tard, quand je ne vivrai plus, cherche ici, cherche-moi parmi la pierre et l’océan, la tempétueuse... Lire la suite
Le 07 avril 2011 par Arbrealettres
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LA HARPE (Pablo Neruda)
LA HARPE La musique allait seule. il n’y avait plume, pelage, lait ou fumée ou noms. Ce n’était jour ni nuit. Seule entre les planètes, de l’éclipse naissant... Lire la suite
Le 07 avril 2011 par Arbrealettres
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TAUREAU (Pablo Neruda)
TAUREAU Le plus vieux des taureaux a traversé le jour. Ses pattes grattaient la planète. Il a marché, marché jusqu’à l’endroit où vit la mer. Sur le rivage est... Lire la suite
Le 07 avril 2011 par Arbrealettres
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Il faut parler avec clarté des pierres (Pablo Neruda)
Il faut parler avec clarté des pierres claires, des pierres sombres, de la roche ancestrale, du rayon bleu resté prisonnier au coeur du saphir, et du rocher... Lire la suite
Le 07 avril 2011 par Arbrealettres
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Le corps de la femme que j’aime (Pablo Neruda)
Que se disperse dans la crise, pour une nouvelle genèse, dans le cataclysme, le corps de la femme que j’aime, en obsidienne, en agate, en saphir, en granite... Lire la suite
Le 07 avril 2011 par Arbrealettres
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Ah! laisse-moi un souterrain, un labyrinthe (Pablo Neruda)
Ah! laisse-moi un souterrain, un labyrinthe où accourir après, lorsque n’ayant plus d’yeux ni de toucher, je voudrai, dans le vide, redevenir ou pierre muette o... Lire la suite
Le 07 avril 2011 par Arbrealettres
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La topaze (Pablo Neruda)
Quand tu la touches, la topaze te touche aussi : et le doux feu s’éveille comme s’éveillerait le vin dans le grain de raisin. Même avant sa naissance, le vin... Lire la suite
Le 06 avril 2011 par Arbrealettres
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Je suis ce nu minéral (Pablo Neruda)
Je suis ce nu minéral : écho du souterrain : je suis joyeux de venir de si loin, du fond de tant de terre : je suis dernier, à peine viscères, corps et mains,... Lire la suite
Le 06 avril 2011 par Arbrealettres
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Depuis les violettes me font mal (Pablo Neruda)
J’ai franchi le seuil de la grotte aux améthystes : j’ai laissé mon sang dans les épines violettes : j’ai mué, j’ai changé de vin, de critère : et depuis les... Lire la suite
Le 06 avril 2011 par Arbrealettres
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Le silence dans une pierre (Pablo Neruda)
Le silence dans une pierre se concentre, les cercles s’y ferment, le monde tremblant, les guerres, les oiseaux et les maisons, les villes, les trains, les... Lire la suite
Le 06 avril 2011 par Arbrealettres
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Illustre calcédoine (Pablo Neruda)
Illustre calcédoine, honneur du ciel, délicate, ovale, claire, entière, ressuscitée, je célèbre la douceur de ton feu, la dureté sincère de l’hommage dans... Lire la suite
Le 06 avril 2011 par Arbrealettres
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L’arbre (Pablo Neruda)
L’arbre le voici dans la pierre pure, dans l’évidence et la dure beauté bâtie pour cent millions d’années. Agate, cornaline et luminaire ont remplacé les sèves... Lire la suite
Le 06 avril 2011 par Arbrealettres
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Pierres (Pablo Neruda)
Il faut parcourir le rivage du lac Tragosoldo à Antiñana, très tôt, quand la rosée tremble dans les feuilles dures du canelo, et ramasser des pierres... Lire la suite
Le 06 avril 2011 par Arbrealettres
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Pierre (Pablo Neruda)
Pierre qui roule au creux de l’eau, ou de la cordillère, ronde fille du volcan, colombe de la neige, en descendant vers la mer la forme a laissé sa colère égaré... Lire la suite
Le 06 avril 2011 par Arbrealettres
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Le lichen sur la pierre (Pablo Neruda)
Le lichen sur la pierre, vrilles de gomme verte, trame le plus ancien des hiéroglyphes, Il étire l’écriture de l’océan sur la roche ronde. Lire la suite
Le 06 avril 2011 par Arbrealettres
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L’agate marine a-t-elle des lèvres? (Pablo Neruda)
La pierre vit-elle sans bouger? Vit-elle sans grandir? L’agate marine a-t-elle des lèvres? (Pablo Neruda) Lire la suite
Le 06 avril 2011 par Arbrealettres
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Topaze (Pablo Neruda)
Je te convie à la topaze, à la niche de la pierre jaune, ses abeilles, au miel gelé de la topaze, son jour d’or, la famille de la tranquillité réverbérante :... Lire la suite
Le 06 avril 2011 par Arbrealettres
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Orange de la clarté pétrifiée (Pablo Neruda)
Ô attitude engloutie dans la matière, muraille opaque protégeant la tour de saphir, écorces des pierres inhérentes au solide, au docile, au chaud secret et à... Lire la suite
Le 03 avril 2011 par Arbrealettres
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Emeraude (Pablo Neruda)
Lorsque tout n’était qu’altitude, altitude, altitude, l’émeraude froide attendait là-haut, le regard émeraude : c’était un oeil : il regardait et c’était le... Lire la suite
Le 03 avril 2011 par Arbrealettres
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ODE A LA VALSE SUR LES VAGUES (Pablo Neruda)
ODE A LA VALSE SUR LES VAGUES [...] Ah, sous les guirlandes, sur le sable de cette côte, sous cette lune, danser avec toi la valse des écumes en te serrant la... Lire la suite
Le 21 mars 2011 par Arbrealettres
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ODE AU TEMPS A VENIR (Pablo Neruda)
ODE AU TEMPS A VENIR Temps, tu m’appelles. Avant, tu étais espace pur, vaste prairie. Aujourd’hui tu es fil ou goutte, lumière mince courant comme un lièvre ver... Lire la suite
Le 21 mars 2011 par Arbrealettres
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ODE DE MES PEINES (Pablo Neruda)
ODE DE MES PEINES Peut-être que quelqu’un, que quelques-uns veulent savoir quelque chose de moi. Je m’interdis de parler de mes peines. Lire la suite
Le 21 mars 2011 par Arbrealettres
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ODE A LA PANTHERE NOIRE (Pablo Neruda)
ODE A LA PANTHERE NOIRE [...] Elle allait comme le feu et, comme la fumée, quand elle ferma ses yeux elle fut invisible et insondable nuit. Lire la suite
Le 21 mars 2011 par Arbrealettres
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ODE AU MAGNOLIA (Pablo Neruda)
ODE AU MAGNOLIA [...] Une fleur de magnolia pure ronde comme un cercle de neige monta jusqu’à ma fenêtre, me réconciliant avec la beauté. Lire la suite
Le 21 mars 2011 par Arbrealettres
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ODE A LA LUMIÈRE MARINE (Pablo Neruda)
ODE A LA LUMIÈRE MARINE [...] Pouvoir de la lumière qui mûrit dans l’espace, vague qui nous traverse sans nous mouiller, hanche de l’univers, rose... Lire la suite
Le 21 mars 2011 par Arbrealettres
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ODE A LA LUMIÈRE ENCHANTEE (Pablo Neruda)
ODE A LA LUMIÈRE ENCHANTEE La lumière sous les arbres, la lumière du haut ciel. La lumière verte entrée aux branches, fulgurante sur la feuille et qui tombe... Lire la suite
Le 21 mars 2011 par Arbrealettres
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ODE A DES FLEURS JAUNES (Pablo Neruda)
ODE A DES FLEURS JAUNES Sur l’azur mouvant ses azurs, la mer, et sur le ciel, des fleurs jaunes. Octobre vient. Et malgré l’importance de la mer développant... Lire la suite
Le 21 mars 2011 par Arbrealettres
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NOMS (Pablo Neruda)
NOMS Ah! Edwige, quel joli nom tu portes, femme au coeur bleu : c’est un nom de reine qui peu à peu est arrivé jusqu’aux cuisines et n’a jamais repris le... Lire la suite
Le 21 mars 2011 par Arbrealettres
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[SI CHAQUE JOUR...] (Pablo Neruda)
[SI CHAQUE JOUR...] Si chaque jour tombe dans chaque nuit il existe un puits où la clarté se trouve enclose. Il faut s’asseoir sur la margelle du puits de... Lire la suite
Le 21 mars 2011 par Arbrealettres
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[LE PORT LE HAVRE...] (Pablo Neruda)
[LE PORT LE HAVRE...] Le port le havre de Valparaiso dans ses nippes de terre me l’a conté : il ne sait pas naviguer : il subit l’assaut, l’ouragan, le séisme,... Lire la suite
Le 20 mars 2011 par Arbrealettres
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[EN PLEIN MILIEU DU MOIS DE JUIN...] (Pablo Neruda)
[EN PLEIN MILIEU DU MOIS DE JUIN...] En plein milieu du mois de Juin une femme a surgi chez moi, une femme ou mieux, une orange. Lire la suite
Le 20 mars 2011 par Arbrealettres
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CHAQUE JOUR MATHILDE (Pablo Neruda)
CHAQUE JOUR MATHILDE Aujourd’hui je te dis : Mathilde, tu es longue comme le corps du Chili, délicate comme une fleur d’anis, en chaque branche tu retiens le... Lire la suite
Le 20 mars 2011 par Arbrealettres
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[IL SEMBLE QU'UN NAVIRE...] (Pablo Neruda)
[IL SEMBLE QU'UN NAVIRE...] Il semble qu’un navire autre que tous les autres devra, l’heure venue, se montrer sur la mer. Il n’est pas en acier. Lire la suite
Le 20 mars 2011 par Arbrealettres
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[GRAND MERCI, VIOLONS...] (Pablo Neruda)
[GRAND MERCI, VIOLONS...] Grand merci, violons, pour ce jour à quatre cordes. Pure est la sonorité du ciel, la voix bleue de l’air. Lire la suite
Le 20 mars 2011 par Arbrealettres
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L’ÉTOILE (Pablo Neruda)
L’ÉTOILE Bon, je ne suis pas revenu. Non revenir ne me fait plus souffrir, le sable a décidé et comme élément de la vague et du passage, comme syllabe du sel,... Lire la suite
Le 20 mars 2011 par Arbrealettres
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Je reviens à la mer (Pablo Neruda)
Je reviens à la mer et le ciel m’environne: le silence, entre la vague et celle qui suit établit une dangereuse interruption: la vie s’éteint, le sang se... Lire la suite
Le 20 mars 2011 par Arbrealettres
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UN CHIEN EST MORT (Pablo Neruda)
UN CHIEN EST MORT Mon chien est mort. Je l’ai enterré au jardin près d’un vieil engin sous la rouille. Là, ni plus bas, ni plus haut, un jour il me retrouvera. Lire la suite
Le 20 mars 2011 par Arbrealettres
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LES TRIANGLES (Pablo Neruda)
LES TRIANGLES Trois triangles d’oiseaux ont traversé le ciel sur l’énorme océan allongé dans l’hiver comme une bête verte. Tout n’est qu’inertie de mort, le... Lire la suite
Le 20 mars 2011 par Arbrealettres
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ANIMAL DE LUMIÈRE (Pablo Neruda)
ANIMAL DE LUMIÈRE Je suis, dans cet illimité sans solitude, un animal de lumière traqué par ses erreurs, par son feuillage : vaste est la forêt : ici mes... Lire la suite
Le 20 mars 2011 par Arbrealettres
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MERCI BEAUCOUP (Pablo Neruda)
MERCI BEAUCOUP Il faut tant marcher par le monde pour constater certaines choses, certaines lois de soleil bleu, le bruit central de la douleur, l’exactitude... Lire la suite
Le 19 mars 2011 par Arbrealettres
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IMAGE (Pablo Neruda)
IMAGE D’une femme qui fut rencontre fugitive je conserve le nom bien enfermé : c’est un coffret : j’en élève parfois les syllabes rouillées qui grincent tels... Lire la suite
Le 19 mars 2011 par Arbrealettres
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L’écorce du bouleau (Pablo Neruda)
L’écorce du bouleau Comme l’écorce du bouleau tu es argent, tu es parfum, et je dois emprunter tes yeux lorsque je décris le printemps. Lire la suite
Le 19 mars 2011 par Arbrealettres
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LES HOMMES (Pablo Neruda)
LES HOMMES Moi, l’homme des forêts et des trains en hiver, moi, le conservateur de la dure saison, de la boue dans une rue épuisée, misérable, moi, le poète... Lire la suite
Le 19 mars 2011 par Arbrealettres
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LES HOMMES (Pablo Neruda)
LES HOMMES Nous sommes arrivés très loin, très loin pour entendre les orbites de pierre, les yeux éteints qui continuent de regarder, les grands visages en plac... Lire la suite
Le 19 mars 2011 par Arbrealettres
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L’île (Pablo Neruda)
L’île Lorsque les mastodontes se multiplièrent et debout commencèrent à marcher couvrant finalement l’île de narines de pierre, et lorsqu’ils désignèrent,... Lire la suite
Le 19 mars 2011 par Arbrealettres
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Quand le papillon lit-il (Pablo Neruda)
Quand le papillon lit-il donc ce qui vole écrit sur ses ailes ? Quelles lettres connaît l’abeille pour savoir son itinéraire ? Quels chiffres la fourmi... Lire la suite
Le 16 janvier 2011 par Arbrealettres
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Qui donne ses noms et ses chiffres (Pablo Neruda)
Pourquoi mon linge délavé s’agite-t-il comme un drapeau ? Suis-je parfois un mauvais drôle ou chaque fois un bon garçon ? Nous enseigne-t-on la bonté ou le... Lire la suite
Le 16 janvier 2011 par Arbrealettres
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Que signifie continuer d’être (Pablo Neruda)
Que signifie continuer d’être, dans la venelle de la mort ? Dans le vaste désert du sel, comment fleurir est-il possible ? Dans la mer du rien-ne-se-passe... Lire la suite
Le 16 janvier 2011 par Arbrealettres
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Pourquoi suis-je né sans mystère ? (Pablo Neruda)
Pourquoi suis-je né sans mystère ? Pourquoi tout seul ai-je grandi ? Qui m’a demandé d’ébranler les portes de mon propre orgueil ? Qui est sorti vivre à ma plac... Lire la suite
Le 16 janvier 2011 par Arbrealettres
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Quand je vois de nouveau la mer (Pablo Neruda)
Quand je vois de nouveau la mer, la mer m’a-t-elle vu ou non ? Pourquoi, m’interrogeant, les vagues me renvoient-elles mes questions ? Pourquoi, battant le... Lire la suite
Le 16 janvier 2011 par Arbrealettres
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Les conques (Pablo Neruda)
Les conques, marines rondeurs, sont-elles les seins des sirènes ? Sont-elles vagues pétrifiées ? Jeu immobile de l’écume ? Le feu des lucioles sauvages... Lire la suite
Le 16 janvier 2011 par Arbrealettres
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Où le colibri suspend-il (Pablo Neruda)
Entends-tu des détonations jaunes au milieu de l’automne ? Quelle raison ou déraison fait que la pluie pleure sa joie ? Quels oiseaux dictent l’ordre à suivre... Lire la suite
Le 16 janvier 2011 par Arbrealettres
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Ne vois-tu (Pablo Neruda)
Ne vois-tu, dans la soie sanglante du coquelicot, une menace ? Ne vois-tu pas que le pommier fleurit pour mourir dans la pomme ? Ne pleures-tu, parmi les... Lire la suite
Le 16 janvier 2011 par Arbrealettres
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Où trouver une cloche (Pablo Neruda)
Où trouver une cloche qui tintera au fond de tes rêves? (Pablo Neruda) Lire la suite
Le 16 janvier 2011 par Arbrealettres
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Pourquoi (Pablo Neruda)
Pourquoi, pour attendre la neige, la futaie se met-elle nue ? Et comment savoir qui est Dieu parmi les Dieux de Calcutta ? Et pourquoi tous les vers à soie... Lire la suite
Le 16 janvier 2011 par Arbrealettres
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Est-il vrai (Pablo Neruda)
Est-il vrai que l’ambre contient les pleurs versés par les sirènes ? Comment s’appelle cette fleur qui vole d’un oiseau à l’autre ? Ne vaut-il mieux jamais que... Lire la suite
Le 15 janvier 2011 par Arbrealettres
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Que penseront de mon chapeau (Pablo Neruda)
Que penseront de mon chapeau, d’ici cent ans, les Polonais ? Que diront de ma poésie ceux qui n’ont pas touché mon sang ? Comment mesure-t-on l’écume qui... Lire la suite
Le 15 janvier 2011 par Arbrealettres
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Est-ce le soleil d’hier ? (Pablo Neruda)
Est-ce le soleil d’hier ? Ou le feu de son feu est-il autre ? Comment rendre grâce aux nuages pour cette abondance éphémère ? D’où viennent-elles, les nuées ave... Lire la suite
Le 15 janvier 2011 par Arbrealettres
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Quel dard irrite les volcans (Pablo Neruda)
Quel dard irrite les volcans qui crachent feu, froid et fureur ? Et pourquoi Christophe Colomb n’a-t-il pu découvrir l’Espagne ? Combien de questions dans un... Lire la suite
Le 15 janvier 2011 par Arbrealettres
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La paix de la colombe est-elle paix ? (Pablo Neruda)
La paix de la colombe est-elle paix ? Le léopard fait-il la guerre ? Pourquoi le maitre enseigne-t-il la géographie de la mort ? Qu’arrive-t-il aux hirondelles... Lire la suite
Le 15 janvier 2011 par Arbrealettres
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Pourquoi le chapeau de la nuit (Pablo Neruda)
Pourquoi le chapeau de la nuit vole-t-il avec tant de trous ? Que raconte la vieille cendre quand elle marche auprès du feu ? D’où vient que les nuages, qui... Lire la suite
Le 15 janvier 2011 par Arbrealettres
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Qu’abrites-tu là sous ta bosse ? (Pablo Neruda)
- Qu’abrites-tu là sous ta bosse ? dit le chameau à la tortue. La tortue lui a répondu - Et toi, que dis-tu aux oranges ? Un poirier a-t-il plus de feuilles qu’... Lire la suite
Le 15 janvier 2011 par Arbrealettres
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Combien le ciel a-t-il d’églises ? (Pablo Neruda)
Combien le ciel a-t-il d’églises ? Pourquoi le requin ne mord-il les sirènes si effrontées ? La fumée parle-t-elle aux nuages ? Est-il vrai qu’il faut arroser... Lire la suite
Le 15 janvier 2011 par Arbrealettres
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Dis-moi, la rose est-elle nue (Pablo Neruda)
Dis-moi, la rose est-elle nue ou n’a-t-elle que cette robe ? Pourquoi les arbres cachent-ils l’éclat somptueux de leurs racines ? Qui tend une oreille aux... Lire la suite
Le 15 janvier 2011 par Arbrealettres
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A qui vais-je demander l’heure ? (Pablo Neruda)
Si je suis mort sans l’avoir su, à qui vais-je demander l’heure ? Où donc, en France, le printemps puise-t-il tant et tant de feuilles ? Où un aveugle peut-il... Lire la suite
Le 15 janvier 2011 par Arbrealettres
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Pourquoi les énormes avions (Pablo Neruda)
Pourquoi les énormes avions ne promènent-ils leurs petits ? Quel est l’oiseau aux plumes jaunes qui remplit le nid de citrons ? Pourquoi n’apprend-on aux... Lire la suite
Le 15 janvier 2011 par Arbrealettres
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Dimanche poétique - Pablo Neruda
Il meurt lentement celui qui ne voyage pas,celui qui ne lit pas,celui qui n’écoute pas de musique,celui qui ne sait pas trouver grâce à ses yeux. Lire la suite
Le 19 décembre 2010 par Emmyne
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"je t'aime" pablo neruda
Sache que je ne t’aime pas et que je t’aime Puisque est double la façon d’être de la vie, Puisque la parole est une aile du silence, Et qu’il est dans le feu un... Lire la suite
Le 28 juillet 2010 par Lauravanelcoytte
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La poésie - Pablo Neruda
Première poésie apprise en CP, uniquement la 1ère strophe...La poésieEt ce fut à cet âge... La poésievint me chercher. Je ne sais pas, je ne sais d'oùelle... Lire la suite
Le 18 avril 2010 par Myrtilled
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Le potier (Pablo Neruda)
Ton corps entier possède la coupe ou la douceur qui me sont destinées. Quand je lève la main je trouve en chaque endroit une colombe qui me cherchait comme si,... Lire la suite
Le 23 janvier 2010 par Arbrealettres
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Pablo Neruda : La solitude lumineuse
L'année 2008 se termine et je constate avec surprise que j'ai quelque peu délaissé les auteurs sud-américains. Pourtant, jusqu'à présent, j'ai toujours trouvé u... Lire la suite
Le 18 décembre 2008 par Gangoueus
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Pablo NERUDA
...Galope MuertoComo cenizas, como mares poblándose,en la sumergida lentitud, en lo informe,o como se oyen desde el alto de los caminoscruzar las campanadas en... Lire la suite
Le 16 mars 2008 par Antwan