Enfin ! J’ai besoin, j’ai soif de vous voir. Je crois que je donnerais le reste de ma vie pour vous parler un quart d’heure des choses les plus indifférentes.
Adieu, je vous quitte pour être plus avec vous, pour oser vous parler avec tout l’abandon, avec toute l’énergie de la passion qui me dévore.
Lettre de Stendhal à Métilde Dembovski, Varèse, le 16 novembre 1818
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