Loin de Füsun, je perdais toute sérénité, le monde se transformait à mes yeux en une énigmatique charade. En voyant Füsun, j'avais l'impression que toutes les pièces du puzzle se remettaient instantanément en place et, me souvenant combien le monde était un endroit plein de sens et de beauté, je soufflais à nouveau
Orhan Pamuk, Le musée de l'innocence.
Partager cet article Repost0Emois
« Article précédent Article suivant »