Un tableau en vente dans un magasin caritatif a acquis une réputation peu enviable après que des acheteurs l’ont renvoyé parce qu’il était effrayant.
Récemment au Hastings Advice Representation Center (HARC) Magasin de charité à St Leonards-on-Sea, un portrait particulier d’une jeune fille est devenu le sujet de conversation de la ville, selon le Télégraphe.
Un don inquiétant
Steve, le surveillant du magasin, a raconté comment un homme d’âge moyen a remis le peinture, entre autres. Cette œuvre, représentant une jeune fille vêtue d’une robe cramoisie avec une expression légèrement décalée, a attiré l’attention de Steve.
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En voyant le tableau, il s’est exclamé : « Oh mon Dieu, regarde son visage. » Une cliente a remarqué son caractère troublant, notant à quel point ses yeux semblaient suivre les mouvements de l’individu. Steve accepta, observant : “Oui, il vous suit partout.”
Vendu deux fois, retourné deux fois
Cette femme intriguée a décidé d’acheter l’œuvre. Cependant, elle est revenue deux jours plus tard, exprimant son malaise face à son « aura ». Steve a partagé : “Nous l’avons ensuite affiché avec une étiquette faisant allusion à sa malédiction potentielle.”
Une autre dame l’a acheté mais l’a rapidement rendu dans un état de peur, déclarant qu’elle ne souhaitait plus jamais le revoir. L’œuvre d’art a ensuite été présentée avec une pancarte annonçant : « Elle est de retour ! Vendu deux fois et retourné deux fois ! Êtes-vous assez courageux ?
Pourtant, l’histoire a pris un tournant. La deuxième acheteuse, après avoir vu le buzz en ligne autour du tableau, a reconsidéré sa décision. Steve a mentionné : “Elle a vu sa popularité en ligne et a pensé que cela pourrait être précieux.” Elle a appelé Steve, exprimant son changement d’avis et son désir de récupérer le tableau. Steve a ajouté : « Elle l’a récupéré sans aucun frais. Personne n’a jamais demandé de remboursement. Nous l’avons étiqueté à 25 £ puis 20 £, et il a été à la hauteur de sa réputation.
Alors même qu’elle récupérait le tableau, elle hésitait, se demandant si elle devait le laisser une fois de plus.
Frénésie des médias sociaux
L’œuvre a suscité un tourbillon de réactions en ligne. Beaucoup ont fait des parallèles avec le film « Les Autres » de 2001, avec Nicole Kidman. Certains ont même suggéré que le propriétaire « le brûle ».
L’histoire rappelle également le film d’horreur « D’outre-tombe » de 1974, dans lequel Peter Cushing incarnait le propriétaire d’un magasin d’antiquités, dont certains de ses clients connaissent une fin peu recommandable après avoir acquis des objets.
L’identité de l’artiste et l’inspiration derrière le portrait restent entourées de mystère.
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