Résumé : Tout le monde à la Fairvale Academy connaît Bryson Keller. C’est la star de l’école, le capitaine de l’équipe de football, grand, beau, sexy… Et tout le monde sait qu’il ne croit pas au grand amour, persuadé que les relations de jeunesse sont forcément sans lendemain. Et Bryson vient de lancer un pari : chaque semaine, il sortira avec la première personne qui lui demandera d’être son « date » pour les jours à venir, que cette personne lui plaise ou non. Le vendredi soir, tout sera terminé. Et il ne fera aucune exception. Mais un jour, Kai Sheridan, le timide coeur solitaire, tente sa chance. Même s’il sait que le capitaine de l’équipe de foot aime les filles, il l’invite à sortir avec lui. Après tout, le brillant Bryson Keller a oublié un détail dans son pari : il n’a jamais précisé que son rendez-vous ne pouvait pas être un garçon…
Avis : Bryson Keller fait un pari, il sortira avec une nouvelle personne du lundi au vendredi toutes les semaines pendant trois mois. Il ne s’attendait très certainement pas à ce qu’un garçon lui fasse sa demande. Et c’est pourtant Kai qui va lui demander un lundi matin sur un coup de tête. Et Bryson va accepter.
J’ai adoré ce livre. Déjà le speech de fake dating j’adore, et en plus le roman est trop mignon. Kai est adorable, il a des amis super Priya et Donny. Et Bryson est aussi un vrai doudou. Du coup, c’est vraiment doux comme la guimauve et ça fait du bien au cœur. La relation des personnages est belle, l’amitié de Priya et Donny avec Kai m’a vraiment beaucoup plu, et la romance qui s’installe entre Kai et Bryson était tout simplement réconfortante comme un chocolat chaud avec plein de chantilly.
J’ai aimé comment le coming out était abordé, et l’injustice que ressente les personnes LGBTQ+ à devoir rester dans le placard quand les hétéros peuvent vivre à l’air libre sans être emmerdés. Le sujet était très bien traité, et d’une façon douce comme le reste du livre. J’ai vraiment été transportée par cette lecture, j’ai beaucoup ris et beaucoup gloussé. J’ai versé une larmichette à la fin, à cause de l’émotion. C’était super chouette.
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