Les asticots tirebouchonnés s’égosillent dans un minuscule raffut cependant que l’eau de pluie changée en vin dégringole depuis les rangées de tuiles dérangées jusque sur les épaules capitonnées de vieux colonels aux sourcils circonflexes où elle rebondit en un ploc ploc sinistre qui éteint toute possibilité de boucherie microscopique : parfois les asticots attendent dans les zébrures du ciel hachuré l’ouverture des charniers.