Les clowns et les fous ne pleurent pas

Par Abdesselam Bougedrawi @abdesselam

Un ami m’invite au cinéma : tu verras, c’est un film très drôle. Le film commence par une scène où des policiers, éclatant de rire, donnent des coups de bâtons à un clown à terre. La salle riait aux éclats. Je suis le seul à voir les larmes du clown.

Comme un chien qui aboie sur la tombe de son maître, je me mis à hurler tellement j’avais de la peine pour lui.

On m’emmène dans un hôpital, un psychiatre déclare que je suis fou. On m’enferme dans un asile psychiatrique. À chaque fois que je proteste, des infirmiers me jettent à terre et me frappent avec des bâtons tout en riant aux éclats.

Je pense que je suis toujours dans ce film. Seuls les fous peuvent voir que je souffre.

Au secours, maman, sauve-moi.

Texte inspiré du journal d’un fou de Nicolas Gogol. Je vous invite à trouver mes vidéo consacrée à GOGOL

Depuis une cinquantaine d’années, on assiste à l’émergence d’une série d’essais et de thèses dont la principale caractéristique est de provoquer un malaise dans le monde occidental. Elle possède, également, une autre vertu, celle de se tromper systématiquement.
Le choc des civilisations de Samuel Huntington et le grand remplacement de Renaud Camus en constituent les plus illustres représentants.
Autour d’eux gravitent, par-ci par-là, des publications de Houellebecq, d’Onfray, de Zemmour…
Avec son livre, la religion Woke, Jean-François Braunstein aborde le thème du Wokisme de manière confuse. Il le mélange avec les théories de genre et j’en passe.

RETROVEZ MON LIVRE WOKISME, THÉORIES DU GENRE. LE GRAND IMBROGLIO

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