Comme indiqué dans les notes précédentes, ce qui suit, bien qu'attribué à Albert le Grand n'a rien à voir avec lui. Nous y voici! Quelques écrits tirés de cet inénarrable "bible" des sorciers du temps jadis qui se croyaient magiciens, médecins, voire philosophes.
"Epitre" (c'est l'introduction, résumée ici) est vouée à "son cher confrère en Jésus-Christ, …. Clerc…
"Le sujet de ce livre est un être mobile, appliqué à la connaissance des parties secrètes des femmes, afin qu'étant malades on puisse leur procurer les remèdes propres pour les guérir et qu'en les confessant on leur donne des pénitences proportionnées aux péchés qu'elles auront commis."
Albert le Grand divise ce livre en deux parties: dans la première, il écrit à un de ses amis et dans la seconde, il satisfait à une demande d'un prêtre qui le priait avec instance de lui apprendre quelque chose touchant les secrets des femmes, parce qu'elles sont tellement remplies de corruption, quand elles ont leur règles que, de leur vue, elles empoisonnent les animaux, infectent les enfants au maillot, tachent le miroir le plus propre, enfin, donnent la vérole ou des chances à ceux qui les connaissent pendant ce temps. Et, comme on évite le mal…