Quatrième de couverture :
L’affaire commence lorsque Holmes reçoit un télégramme de son frère Mycroft l’appelant à l’aide. Proche conseiller de la reine Victoria, ce dernier craint pour la vie de la souveraine.
Fait étrange, deux de ses serviteurs ont été percés de plus de cinquante coupe de poignard, exactement comme le secrétaire italien de Marie Stuart, assassiné trois siècles plus tôt.
Il n’en faut pas plus à Holmes et à son fidèle Watson pour accourir sur les lieux du drame et démonter que la force de la déduction vient forcément à bout de l’inextricable quand il s’agit de défendre l’ordre, l’Empire et la reine Victoria !
A la demande des héritiers de Conan Doyle, Caleb Carr a imaginé une nouvelle aventure de Sherlock Holmes, qui renoue avec l’atmosphère surnaturelle du Chien des Baskerville. Ni pastiche, ni parodie, un bel hommage au plus célèbre des détectives.
Mon avis :
Une plongée dans les méandres de la société victorienne. Une aventure de Sherlock Holmes sans Conan Doyle, cela peut paraître étrange au premier abord, mais lorsque l’on voit par qui cette aventure a été écrite, le doute cède très vite la place à l’envie. Ce n’est pas – plus – la peine de présenter Caleb Carr. Le livre est très efficace, l’esprit de Sherlock n’est pas dénaturé une seconde. Bref, un vrai moment de plaisir.