Vacances écourtées (provisoirement) pour une partie du gouvernement Fillon, priée de rappliquer fissa à Matignon pour plancher sur des solutions de sorties de crise.
Crise qui n'existe pas puisque, dixit Lagarde, celui qui parlerait de récession aurait un trimestre d'avance, tandis que Chatel ,autre premier de la classe, nous donne la définition de la récession. Une récession s'établit sur deux trimestres consécutifs. Luc Chatel donne donc raison à "Tout va très bien Madame la Marquise", ainsi surnommée aujourd'hui par Laurent Fabius.
La récession qui est là sans l'être nous tombera donc officiellemnt dessus le trimestre prochain. Inutile de s'alarmer, terminons les vacances, laissons passer la rentrée et là, on pourra constater les dégats. D'ici, nions tout en bloc et application de la méthode Coué.
La récession n'est pas en France mais cogne dur en Espagne ou Zapatéro annonce un plan de relance, à base de recettes keynesiennes pendant qu'ici, Fillon nous déclare que "La France n'a pas besoin de plan de relance".
Comme un doute, disons plutôt que la France ne peut se doter d'un plan de relance, l'idéologie ayant primé pour donner naissance à Tepa et ainsi se priver de toutes marges de manoeuvres.
Ce que dénoncent conjointement Fabius et Sapin, ce dernier s'attirant les foudres du communicant à cheveux gras, toujours prompts à la charge à l'arme lourde, le célébrissime monsieur Lefebvre.
Pour finir sur un petit rire, monsieur Raffarin, phénix du Haut Poitou aime beaucoup Martine Aubry ou en tout cas déteste vraiment Ségolène Royal. Très mauvais perdant le peut être futur boss du Sénat