"De l'envie irrésistible de composer et de la spontanéité qu'offrent parfois les réseaux sociaux est né ce concept " sacrilège. Je prends un poème que j'adore. Je le déshonore ! Plusieurs mois plus tard, passés seul dans mon studio, dans un curieux mélange de livres, de posts Instagram, d'instruments acoustiques et de synthétiseurs, Sacrilèges était né. Et je n'en ai pas terminé..."