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Le No CSS Club célèbre les sites Web sans feuilles de style, sans parler de javascript. Il devrait y avoir un club No HTML pour les sites Web en texte pur

Publié le 19 juillet 2023 par Mycamer

J’ai été alerté de la Pas de club CSSqui célèbre (et fait la satire) des tendances nostalgiques, minimalistes et brutalistes des sites Web qui évitent le gonflement des frameworks modernes (et de tout ce qui n’est pas du HTML brut)

Le Web moderne est littéralement Satan et mangera probablement votre premier-né si nous ne faisons rien à ce sujet, et vite ! (a dû augmenter l’hyperbolisme de le autre sites Internet; de façon intéressante, le club NoJSqui jusqu’à présent était sans doute le plus radical des *.clubs, n’a pas beaucoup d’hyperbole, ce qui est vraiment dommage).

Pour faire ce à quoi le Web était initialement destiné (c’est-à-dire rendre l’information accessible via Internet), tout ce dont vous avez besoin est de servir des documents HTML. Si tu as besoin “style” cela signifie simplement que vous essayez de dissimuler votre manque d’informations intéressantes.

Je veux que quelqu’un fasse un club sans HTML et Je ne plaisante même pas. L’hypertexte était une erreur. Le lien obscurcit fondamentalement la ressource. C’est l’ultime illusion borgésienne, une erreur de cartographie qui est devenue la graine fractale de notre anéantissement. J’y pensais, puis j’ai réalisé que je n’avais pas besoin d’écrire quoi que ce soit à ce sujet, je pouvais juste (* remuer les doigts *) faire une “ingénierie rapide” intelligente et demander à ChatGPT de le faire pour moi. (précédemment)

De l’inexactitude des cartes : démêler l’obscurcissement de l’hypertexte

Dans le domaine numérique, où l’information règne en maître, l’hypertexte est devenu une force omniprésente, entrelaçant le vaste réseau de connaissances. Ses partisans l’annoncent comme le sauveur de la navigation, promettant un voyage sans faille à travers les couloirs labyrinthiques de l’information. Pourtant, moi, avec une disposition sceptique héritée de Jorge Luis Borges, je dois jeter un regard perspicace sur cette merveille annoncée. Ce faisant, je découvre une vérité inquiétante qui se cache sous la surface de l’attrait de l’hypertexte – une vérité enracinée dans l’obscurcissement de la ressource par le lien.

Autrefois, les cartographes gravaient laborieusement des cartes méticuleuses, visant à refléter le paysage de la réalité avec la plus grande précision. Ces cartes, bien qu’inévitablement imparfaites, cherchaient à résumer l’essence d’un territoire, offrant un guide de navigation au voyageur intrépide. Cependant, l’avènement de l’hypertexte à l’ère numérique a inauguré une inversion particulière de cette poursuite. Plutôt que des cartes, nous sommes confrontés à une abondance de liens – des hyperliens – qui promettent de nous transporter dans des domaines de connaissance lointains, mais voilent plutôt l’essence même qu’ils prétendent dévoiler.

Considérez, si vous voulez, la nature aléatoire de l’hypertexte, où lien sur lien émerge, à l’infini, enchevêtrant le lecteur dans un réseau complexe d’interconnexions. Alors que nous traversons ce paysage labyrinthique, nous devenons pris au piège d’une poursuite sans fin, perdus au milieu d’un enchevêtrement d’hyperliens, chacun nous invitant à explorer davantage. Mais où, cher lecteur, ces liens nous mènent-ils ? Hélas, la réponse nous échappe, car la nature même de l’hypertexte engendre un obscurcissement de la ressource qu’il vise à éclairer.

Telle une galerie de glaces, l’hypertexte joue avec notre perception de la réalité, renvoyant une image déformée de la connaissance. Le lien devient un escroc séduisant, se déguisant en porte d’entrée vers l’illumination, pour nous égarer, pris au piège dans un cycle sans fin de navigation par hyperlien. Plus on s’adonne à cette danse éphémère, plus on s’éloigne de l’essence de la ressource originelle. Nous nous perdons, désorientés au milieu d’une profusion de chemins divergents, notre destination s’estompant comme un mirage dans le désert.

L’hypertexte, dans son essence, témoigne du paradoxe de l’abondance et de la rareté. Il nous offre une étendue infinie de possibilités, un océan de connaissances à portée de main. Pourtant, dans cette mer d’abondance, nous nous retrouvons affamés d’une véritable compréhension. Les liens qui tissent notre existence numérique transforment les connaissances en une mosaïque fragmentée, dépourvue de cohérence et de contexte. Nous devenons de simples vagabonds, toujours en quête de substance, dérivant d’un hyperlien à l’autre, nous perdant dans le désarroi.

Borges, dans sa sagesse, a dit un jour : « La carte n’est pas le territoire ; le nom n’est pas la chose nommée. Et il en va de même avec l’hypertexte – une illusion d’interconnexion qui masque le véritable paysage de la connaissance. Ne succombons pas à l’attrait de l’obscurcissement. Au lieu de cela, efforçons-nous d’être clairs, en cherchant une voie qui transcende l’étreinte trompeuse des hyperliens de l’hypertexte. Car c’est dans l’inexactitude des cartes que réside l’essence de la découverte, et ce n’est que par une profonde compréhension de cette inexactitude que nous pouvons encore naviguer dans le labyrinthe complexe de la connaissance et en sortir éclairés.

MISE À JOUR: Oui. OUI.

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