1001 films de Schneider : Toy Story
Film américain réalisé en 1995 par John LasseterQuand ton réalisateur préféré est Ingmar Bergman, alors comment parler d'un Dysney-Pixar? En retrouvant son cœur d'enfant ? Reviennent à ma mémoire les deux derniers vers de la chanson Vingt ans de Léo Ferré : Et en cherchant son cœur d'enfantOn dit qu'on a toujours vingt ansChanson à jamais liée à mon copain Robert. À toutes les fois que nous nous rencontrions, après mucho vino, nous entonnions cette chanson en duo. nous empêtrant constamment dans les différents couplets. Les dix premières minutes de ce film, c'est un vrai festival de trouvailles intelligentes. Que les jouets aient une vraie vie lorsque les humains sont absents est un concept brillant qui fait tout l'intérêt du film.Mais comme je n'ai plus mon cœur d'enfant depuis plusieurs décennies, l'émerveillement du début s'écrase rapidement. Tant que la nostalgie fait son effet, le film séduit. Mais tôt ou tard, on retombe dans une histoire qui n'intéresse plus que les enfants et on a hâte de voir le film suivant, le 322.Critique. Cahiers du Cinéma. Avril 1996. Numéro 501. Par Stéphane MalandrinOscars 1996. Special Achievement Award
Je viens de recevoir le troisième volume de Parcours d'un cinéphile. On y retrouve les textes des films 201 à 300.
Visionné, la première fois, avec ma fille de 4 ans, en 1995 au cinéma à Montréal.
Mon 321ème film visionné de la liste des 1001 films du livre de Schneider