Résumé : Existe-t-il plus grand plaisir que d’écouter des récits macabres, la veille de Noël, dans une vieille maison isolée ? Qu’il est diabolique le frisson qui glace alors les sangs…
Qu’il est divin le cri des femmes épouvantées… Ce ne sont pourtant que des histoires… Tandis que celle-ci… Elle a été vécue… Par des enfants encore, deux petits orphelins, si admirablement gracieux, si serviables et si doux…
Et leur gouvernante, une jeune fille des plus honnêtes. Ce qu’ils ont vu, ce qu’ils ont enduré et les circonstances extraordinaires des événements qui les ont… Mais non ! c’est trop horrible…
Ça dépasse tout… En pure terreur ! Car le pire, c’est de savoir que, justement, on ne saura jamais tout…
Avis : Abandon page 104 (oui si proche de la fin, mais je viens de me faire spoiler donc j’ai pas envie de continuer). C’était indigeste au possible à lire, les cent pages lues m’ont paru interminables ! Une histoire d’épouvante okay, mais tellement chiante à lire. L’auteur se perds dans ses descriptions, il ne va jamais droit au but, il tourne autour du pot et au bout d’un moment ça en devient très lourd. Des fois je me demandais même si j’avais bien tout compris. Pour exemple : au milieu d’un moment d’action, où la gouvernante devrait bouger ses fesses, elle prend tout de même le temps de nous décrire une pièce dont on se fiche parfaitement, description qui n’apporte rien puisqu’elle va dans cette pièce juste pour regarder par la fenêtre. Cela ne fait que ralentir et alourdir le récit. Je suis franchement déçue parce que je m’attendais vraiment à ressentir des frissons et en fait… Que dalle. L’ambiance malsaine ne m’a rien fait parce que l’auteur tergiversait et blablatait.
Les enfants sont trop parfaits pour être vrais et je ne suis pas tombée de ma chaise d’étonnement quand on s’en rend compte. Les fantômes sont… juste là. En bref, quel ennuie, quelle perte de temps…
éé