Influencé par David Bowie ou encore The Cure, Louis Arlette a conçu ces mises en ondes dans son propre studio. Pour évoquer cette aventure en cinq titres, il souligne : « De l’envie irrésistible de composer et de la spontanéité qu’offrent parfois les réseaux sociaux est né ce concept « sacrilège ». Je prends un poème que j’adore. Je le déshonore ! Plusieurs mois plus tard, passés seul dans mon studio, dans un curieux mélange de livres, de pots Instagram, d’instruments acoustiques et de synthétiseurs, « Sacrilège » est né. Et je n’en ai pas terminé. »
Aujourd'hui, Louis Arlette nous dévoile son adaptation du poème de Charles Baudelaire dans une superbe session live filmée au Musée Carnavalet à Paris. La Journée internationale des personnes handicapées a eu lieu hier. Cette journée est destinée à sensibiliser le public aux problèmes que rencontrent les personnes en situation de handicap et à promouvoir leur inclusion dans tous les domaines de la...