Un excellent article de H16, sur la surmortalité inhabituelle observée en 2022, partout en Europe et surtout chez les jeunes. Alors que la pandémie était officiellement terminée. Un sujet brulant sur lequel la presse de révérence, tellement volubile et à l'affut de ce genre de nouvelles pendant les trois années de la pandémie, reste étonnamment très discrète.
Le début de l'article de H16
« C’est avec un peu d’étonnement que l'on apprend dans une presse globalement discrète que, décidément et malgré tout, l’année 2022 aura vu s’installer une surmortalité de plusieurs dizaines de milliers de morts en France.
Voilà qui est peu commun : autant pour l’année 2020 et l’année 2021, on s’attendait à cette surmortalité évidemment causée par la pandémie dont furent si friands les médias pour remplir leurs colonnes et les politiciens pour remplir leurs poches et leurs agendas, autant pour 2022 qui n’a vu ni pandémie (officiellement terminée) ni événement catastrophique majeur, on pouvait s’attendre à un retour à la normale, à ce petit rythme pépère de 1700 morts quotidiens.
Las. Cela ne s’est pas passé du tout ainsi et c’est un peu étonnant que l'on en parle si peu, justement par contraste avec ces deux années précédentes où tous les médias nous tenaient en haleine avec un compte précis de chaque personne qui mourrait, et dont les plateaux télés se remplissaient de “sommités médicales” qui expliquaient, l’œil vibrant de terreur dès que les chiffres se plaçaient résolument au-dessus de ces 1700 morts quotidiens, que la situation était aussi grave que désespérée (ou quasiment).
Par comparaison, en 2022, on a donc constaté 147 morts de trop tous les jours (1849 observés au lieu des 1702 attendus, soit l’équivalent d’un crash de la Germanwings au quotidien) sans que personne s'en émeuve vraiment : pas de “sommité” l’œil tremblant, pas de carte bigarrée des régions en surmortalité évidente, pas de baromètre de la calanche ni de récapitulatif des clabotés.
Autre élément de surprise : zut et flûte, ces morts surnuméraires ne le sont pas à cause du COVID.»
Lire la suite ici
N.D.L.R
Quant aux causes de cette surmortalité je vous invite à regarder cette vidéo très récente de Pierre Chaillot, le statisticien dont je vous ai souvent parlé ici, surtout durant les trois années de la Covid. Et, à en tirer vos propres conclusions.
A cet égard je vous informe que bien que nous soyons officiellement en démocratie, ni Pierre Chaillot, ni H16, ni moi-même n'avons le droit de tirer explicitement les conclusions qui s'imposent à la lecture de ces statistiques pourtant pour édifiantes. Au risque de provoquer la fermeture administrative de nos sites Internet.
En revanche, la censure, même avec l'intelligence artificielle d'aujourd'hui, est incapable de comprendre la signification du dessin de Bob 22, qui illustre l'article de H16.
La vidéo du site Décoder l'éco
Le résumé de cette vidéo par ChatGPT
●L'Insee affirme qu'il y a eu une surmortalité en 2020, due au Covid-19, mais elle n'a pas les moyens de savoir les causes exactes des décès.
● L'utilisation de données administratives et non de méthodes scientifiquement contrôlées par l'Insee a conduit à des chiffres biaisés sur la mortalité liée à la Covid-19.
● Pendant la période de la pandémie, de nombreuses personnes âgées ont été déclarées décédées de la Covid-19 sans avoir reçu de traitement adéquat.
● Les statistiques sur la mortalité liée à la Covid-19 sont incohérentes, car de nombreuses maladies respiratoires habituelles ont été codées comme Covid-19.
● La surmortalité observée chez les jeunes en 2022 remet en question l'efficacité des vaccins et soulève des doutes sur les causes réelles de décès.
● Les données montrent une baisse de la natalité et une augmentation de la mortalité néonatale précoce après la vaccination contre la Covid-19.
● L'article de l'Insee remet en question le modèle de surmortalité et soulève des doutes sur les discours de peur et de propagande autour de la pandémie.