Après la découverte dans les rues sombres de Philadelphie de cadavres de filles tuées rituellement, l’inspectrice de police Sydney Willows est appelée à collaborer avec Kade Issacson, un éminent vampire terriblement sexy. Elle a beau essayer de résister à la tentation, l’attirance qu’elle éprouve pour lui progresse au même rythme que son enquête.
Mon avis :
Je me réjouissais de cette nouvelle série de romance paranormale chez Milady. Mais mon enthousiasme est assez vite retombé. Je vais être franche, entre l’héroïne, Sydney, et moi, ça ne l’a pas fait. Un rendez-vous raté et du coup, j’ai eu du mal à entrer dans l’histoire parce que là aussi, j’ai trouvé que ça péchait quand même pas mal.
Déjà, mon problème avec Sydney c’est qu’elle est trop badass et indépendante. Elle m’a fait penser à un homme dans un corps de femme. Elle est inspectrice, elle tient à son enquête et pour évacuer le stress d’une journée bien remplie elle va se faire plaisir avec le boss du bar où elle traine. Le boss est un lycan plutôt pas mal. Pourquoi pas, hein, mais, la suite ne m’a pas aidé plus.
Entre-temps, le héros fait son entrée, il est grand, beau, et ne souhaite pas de relation avec Sydney parce qu’il est un vampire au passé compliqué.
Entre eux, je n’ai pas senti d’alchimie. Tout semblait leur tomber dessus sans réel lien. Un coup, il ne veut pas d’elle et le suivant, il veut en faire sa compagne. Pareil pour elle qui souhaite rester indépendante, etc. et puis « pouf », elle veut être avec lui. Et puis, l’intrigue générale ne m’a pas enthousiasmé des masses.
Bon, je pense que mon plus gros problème vient de l’héroïne. Du coup, ça a été très compliqué de terminer ce roman qui pourtant n’est pas long. Une héroïne trop sûre d’elle qui m’a paru froide et trop parfaite. Un héros du coup qui m’a paru fade… à la rigueur j’ai préféré le lycan justement.
Bref, je suis totalement passé à côté de ce début de nouvelle série et j’en suis la première chagrinée. Même si le tome suivant est sur le lycan en question, je ne suis pas certaine de continuer. J’espère que si vous lisez ce titre vous aurez plus de chance que moi. N’hésitez pas à m’en parler.