Ce n'était qu'une question de temps. Ce sont 7 nouvelles accusations qui sont tombées conte l'erreur présidentielle républicaine Trump cette semaine. Aucune pour agressions sexuelles toutefois, ce qui reste dommage, car à ce niveau, le doute de la culpabilité est plus faible.
La confuse et bordélique vantardise du corbeau orange sur une branche perchée a fait tomber le fromage. Il avait de document secrets en sa possession et voulait que tout le monde le sache. Les documents secrets gardés illégalement chez lui après sa présidence comprenait des plans d'attaques contre "le pays A" (L'Iran).
Ce que l'on sait et comprend présentement est que Trump avait le syndrome du "Je-connais-un-secret, mais-je-ne-peux-pas-t'en parler-car-tu-n'es-pas-si-important, mais-je-te-glisse-ici-quelques-infos- menaçant-la-sécurité-nationale-simplement-pour-te-prouver-que-c'est-vrai-tout-ça, mais-svp, n'insiste-pas pour-que-je-t'en-dises-davantage, c'est-un-truc-entre-présidents." C'est exactement ce qu'on s'attendrait à retrouver chez quelqu'un principalement motivé par les pulsions de son ego.
L'ironie est grande. Quand il était candidat à la présidence des États-Unis, voici des choses qu'il a clairement dites, documentées:
C'était un jeu de petit garçon pour Donald. Je risque ma vie pour protéger mon pays en m'assurant qu'on ne viendra pas fouiller dans mon garage double de Mar-A-Lago.
Iran wouldn't go there.
Quand on place un adulte à la maturité d'enfant dans un rôle adulte aussi important, il ne faut pas s'étonner ensuite que la cuisine soit plutôt sale et continuellement à remettre en ordre.
On est dans le processus de la mettre vraiment en ordre.