De sa dernière période, il te reste un plan grossier de la chambre de malade telle que vous l’imaginiez pour elle et que tu as griffonné au bas d’une page de ton carnet de notes, sous une idée de texte à venir. C’est un morceau d’avenir putatif qui, l’espace de quelques jours, fut ce qu’il existait de plus proche de la réalité et que tu emportes partout avec toi, comme un bout de terre qu’aucune caravelle n’a jamais atteint.