Très jeune, Uryû Kamihate a perdu sa mère des suites d’une maladie. Depuis, il n’a qu’un seul objectif : intégrer le prestigieux département de médecine de l’université de Kyôto. Sans le sou et n’ayant aucun autre endroit où aller, il accepte de venir vivre au sanctuaire Amagami… sans savoir qu’il devra cohabiter avec les trois petites filles du prêtre : la douce mais tête en l’air Yae, l’espiègle Asahi, et la fervente Yuna au caractère de feu. La situation n’étant cependant pas assez compliquée comme ça, Uryû apprend que s’il veut pouvoir rester, il va devoir accepter d’épouser l’une d’elles !
© Marcey Naito / Kodansha Ltd.Mon avis :
J’avoue, j’ai complètement craqué pour la couverture (que je trouve très jolie et attirante) de ce nouveau manga ! En général, je ne suis pas une grande fan des comédies romantiques de type shônen avec des harems… Enfin, si j’aime bien, mais il faut que l’histoire tienne la route et que les personnages me plaisent également.
Eh bien, sans surprise (enfin, si un peu), j’ai vraiment kiffé ce premier tome en fait. Sans doute parce que le héros a son petit caractère bien à lui et qu’il n’est pas en extase devant les trois beautés que sont les sœurs Amagami. Uryû, qui est orphelin, doit quitter l’endroit où il vit pour aller habiter dans un sanctuaire tenu par un prêtre, disposé à le recevoir chez lui.
Ce qu’il ne savait pas, c’est que le prêtre à trois petites filles et qu’il tient à faire d’Uryû son héritier en le faisant épouser l’une des trois sœurs. Vous voyez le truc venir ? Moi, oui ! Mai, c’est sans compter sur notre héros, qui a d’autres projets en tête. Uryû souhaite devenir médecin et son but est d’étudier en paix pour réaliser son rêve.
Je vous laisse deviner la suite, ça part dans tous les sens avec les trois sœurs au caractère bien différents. Elles sont un peu clichées sur les bords, mais on les apprécie vite. L’ainée est irresponsable, la seconde déteste déjà le héros (mais semble attirée par lui) et la petite dernière soi-disant la plus terre à terre, n’est pas indifférente non plus vis-à-vis d’Uryû.
Les gags à la japonaise foisonnent pas mal ici avec quelques scènes ecchi qui ne sont pas piqué des hannetons. Sans parler des multiples quiproquos et accidents au programme de ce début de série. C’est désopilant, avec un léger fan-service qui plaira forcément aux amateur.rice. s du genre, et le tout servi par un graphisme qui me plaît beaucoup. Je trouve les dessins très beaux.
How I Married an Amagami Sister de Marcey Naito a des airs de Love Hina ou d’autres séries du même type comme la très jolie romcom : The Quintessential Quintuplets. C’est fun à lire et j’aime beaucoup le héros qui se retrouve mis bien à mal avec ces trois filles prêtes à tout pour protéger leur sanctuaire et leur cœur.
Un joli manga à suivre.
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