Que se passe-t-il dans l'environnement immédiat d'Olivier Bécaille au moment précis où la mort le frappe ? Comment la lumière parvient-elle encore à filtrer derrière ses paupières ? Comment les oiseaux persistent-ils dans leur chant ? Quelle orientation les voix prennent-elles et quels visages découvrent ceux qui le connaissaient ?
C'est la question que pose Zola dans cette nouvelle qui n'a rien de surnaturel. En effet, le cas de catalepsie qu'il rapporte est bien d'une nature sinistrement réaliste. Pour reprendre cette formule d'un personnage de Molière : " N'y a-t-il pas grand danger à contrefaire le mort ? "
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