Récemment, j'écrivais un rapport extrêmement favorable concernant ma première année au volant d'une Tesla où j'ai fait l'éloge de cette voiture électrique.
Il n'y avait rien d'exceptionnel dans ce que j'ai écrit, car cela reflète à peu près le fait que Tesla revendique en ce moment aux États-Unis un taux de satisfaction de 96 % de la part de ses utilisateurs, surpassant tous les autres constructeurs automobiles.
La marque tient aussi la première place au classement annuel de satisfaction auprès des lecteurs de Consumer Reports (le 60 millions de consommateurs américain), où 91 % des propriétaires de la marque ont déclaré qu'ils achèteraient un autre Tesla à l'avenir. Alors comment expliquer pourquoi je dis aujourd’hui avoir un « gros problème » avec ma voiture à peine deux semaines après l’avoir portée aux nues ?
Son arrogance et son nombrilisme me déplaisent tout autant Il n'en a pas toujours été ainsi. Jusqu'à l'arrivée au pouvoir de Trump, j'admirais l'homme et j'avais même testé sa voiture en 2014 en me promettant d'en acheter une un jour.
Même si je pense que maudire les gens n’est pas du tout la solution, je suis à peu près convaincu que Twitter est bien parti pour distraire Musk énormément de ce qu'il est censé faire auprès de ses autres entreprises et que quelqu'un proposera bientôt une meilleure alternative à Twitter où les gens pouvoir enfin y aller !