La semaine dernière sur Twitter, je discutais sur l'ultra droite, contre un copain qui me disait que l'extrême gauche ne posaient pas autant de problèmes d'ordre publics. J'avais commencé à dire que je trouvais grave que l'on disserte sur quel pire est le pire, et que côté exemple (les ZAD, les clous dans les arbres, les "tout le monde déteste la police" en incendiant des voitures de flics pour rendre justice à Adama, des élus qui chantent qu'on peut décapiter Macron ou qui jouent avec un ballon de foot avec tête de ministres, etc, etc... ) le Technival qui n'est pas Ultra droite n'avait pas eu lieu, et je n'ai pas fait de lien entre islam radical, soutien de la gauche LFI, et homophie.Nicolas est venu mais sans le faire exprès, un ami que j'apprécie m'a appelé par mon prénom. Et en fait on s'apprécie, donc c'était OK. Et ce blogueur est un mec sympa.
Y a quelques temps, un bloggueur lyonnais tenait des fiches. Ca me fait beaucoup plus peur, surtout qu'il était aussi d'une mouvance de gauche qui ne me paraissait pas être très Charly. En ce moment, nous avons une personne qui suit énormément Nicolas. Moi même et d'autres ont, par suivisme ou juste parce que nous n'avons pas envie de discuter avec lui, l'ont également enlevé de nos relations. Il est omniprésent et malheureusement caricatural, ce qui le rend détestable.Le résultat quand on a ce genre de troll ? Plus trop envie de bloguer...
Ce weekend enfin, je disais du bien de Jean-François Kahn. Un twittos avec qui nos relations sont normalement bonnes m'a sorti un truc du genre que JFK était "un vieux con qui aurait du mourrir y a 10 ans". Ca m'a choqué. Bon, Chonchon (c'est moi, sans doute le terme peu flatteur auquel on affuble ses détracteurs pour les décrédibiliser) aurait du se calmer d'après celui qui exprime clairement qu'une personne qui ne pense pas pareil aurait du mourrir.Et ça ce veut de gauche ? J'ai été choqué mais en fait, beaucoup souhaitent la mort de personne sur Twitter... De manière décomplexée...
Rien de grave. Je vais assister à l'enterrement d'un compagnon. Un homme de droite, mais surtout une homme avec le coeur sur la main. Qui jamais n'aurait souhaité la mort d'un gars de gauche qui ne pense pas comme lui.
J'ai eu un weekend difficile. J'ai perdu bien plus qu'un copain.