Sont-ils une solution « disruptive » mais efficiente face aux injonctions contradictoires sur un marché de travail oscillant entre besoin de compétences et difficultés de recrutement ? Penser une politique d’accompagnement des plus de 45 ans permettrait ils aux entreprises de lutter contre toutes les formes de burn, bore et/ou brown-out ? Autant de questions auxquelles l’étude dont le cabinet AlterNego dévoile les résultats ce jour, entend apporter des réponses.
Les salariés en deuxième partie de carrière sont en frome puisqu’ils ne sont que 17% à indiquer avoir « moins d’énergie qu’avant dans leur travail », 19% à avoir moins de concentration et 24% à faire de leur travail une priorité moins importante qu’avant. Dans le même temps, 40% déclarent avoir moins de contraintes personnelles.
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Ils ne sont que 40% à penser que leurs contributions professionnelles sont reconnues à leur juste valeur et seulement 25% pensent que les opportunités d’évolutions de carrière que leur propose leur entreprise sont satisfaisantes. 52% des plus de 60 ans considèrent que certains postes ne leur sont plus accessibles (contre 28% des 45-49 ans), 25% disent faire l’objet de mauvaises blagues et de stéréotypes (contre 12% des 45-49 ans) et 27% considèrent avoir déjà été victimes de discrimination (contre 9% des 45-49 ans)
77% des managers se sentent appartenir à leur entreprise (contre 61% des non-managers), 72% des managers trouvent du sens dans leur travail (contre 58% des non-managers), et 56% des managers considèrent que leurs contributions professionnelles sont reconnues à leur juste valeur (contre 41% des non-managers).