Ce blog se pique de repérer toutes les échelles, quand soudain Aredius me soumet un problème : Un sujet breton, forcément :
Les propriétaires de la crêperie, installée dans une ancienne maison d’habitation, estiment avoir mené suffisamment de travaux.
Que faire ?
A quelle échelle mesurer les odeurs ?
Alors voilà, il existe au moins deux échelles dont je n'ai pas trouvé le nom
L'intensité de l'odeur est exprimée sur une échelle de 0 (non perceptible) à 6 (extrêmement forte),
Le ton hédonique est mesuré sur une échelle de -4 (extrêmement désagréable) à +4 (extrêmement agréable).
Donc nos experts vont devoir justifier leurs décision sur ces deux échelles. Pas fastoche. On espère qu'ils maitrisent de toutes leurs fosses nasales l'olfactométrie, qu'ils savent tout de l'organe voméronasal (ou organe de Jacobson), des phéromones... Pas question d'utiliser un nez artificiel électronique même connecté à ChatGPT. Ce dernier, le GPT n'est pas hédonique, il ne détecte bien que les odeurs de pet