TLDR : Découvrez comment John Lennon comparait l’élection présidentielle à la sélection d’un chien dans une fourrière et comment sa vision des figures paternelles a été façonnée par sa propre expérience.
John Lennon avait beaucoup à dire sur l’élection d’un président. Il comparait cette élection à la sélection d’un chien à la fourrière. En outre, il considérait les présidents comme des figures paternelles censées accomplir des miracles.
John Lennon disait que les gens choisissaient les présidents en fonction de leurs cheveux et de leurs dents
Le livre All We Are Saying : The Last Major Interview with John Lennon and Yoko Ono présente une interview réalisée en 1980. John y compare les personnes importantes à des pères. Pour situer le contexte, l’entretien a eu lieu peu après l’élection du président Ronald Reagan. “Tous ces dirigeants, ces parcmètres, sont des pères de substitution, qu’ils soient religieux ou politiques… Toute cette histoire d’élection d’un président ! “Nous choisissons notre propre père dans une fourrière de papas. C’est le papa qui ressemble à celui des publicités.
“Il a de beaux cheveux gris, les bonnes dents et la raie du bon côté”, a-t-il poursuivi. “IL A DE BEAUX CHEVEUX GRIS, LES BONNES DENTS ET LA RAIE DU BON CÔTÉ. C’est le papa que nous choisissons”.
John a comparé les élections à la fourrière. “La fourrière des papas, c’est-à-dire l’arène politique, nous donne un président”, a-t-il déclaré. “Ensuite, nous le plaçons sur une plate-forme et nous commençons à le punir et à lui crier dessus parce que papa ne peut pas faire de miracles : Papa ne nous guérit pas, nous ne nous sentons pas mieux. Alors nous déplaçons le papa dans quatre ans et nous avons un nouveau papa”.