Battement, le cadre d’application multiplateforme open source de Google, a connu un certain élan ces derniers temps, les deux équipes internes de Google pariant dessus pour des projets tels que la nouvelle application Play Console, l’application mobile Google Cloud et l’application de partage à proximité d’Android pour Windows. l’utilisant, ainsi que les développeurs de Canonical (pour le nouvel installateur Ubuntu), la SNCF française et d’autres l’utilisant pour leurs projets. À Google I/O aujourd’hui, l’équipe annonce un certain nombre de nouvelles fonctionnalités pour le projet, qui a franchi le cap de la version 3.0 lors de l’I/O de l’année dernière et lance maintenant la version 3.10.
Google a également noté qu’il existe désormais plus d’un million d’applications basées sur Flutter publiées, contre 500 000 à la mi-2022.
Flutter étant relativement stable à ce stade, il n’est peut-être pas surprenant que l’équipe travaille à étendre certaines de ses capacités existantes et à faciliter l’adoption de Flutter dans les projets existants. Mais en parallèle, Google se tourne aussi vers les nouvelles technologies, avec une focus particulier sur WebAssembly.
Crédits image : Google
Avec la version 3.10, les développeurs peuvent désormais intégrer plus facilement les composants Flutter dans leurs applications Web existantes. C’est quelque chose sur lequel Google a commencé à travailler il y a quelque temps, mais maintenant, les développeurs peuvent utiliser les capacités d’intégration d’éléments de Flutter pour intégrer des composants Flutter comme n’importe quel autre élément CSS, puis les manipuler comme un élément CSS également.
Au début, les applications Flutter sur le Web étaient généralement des applications plein écran à grande échelle, souvent basées sur des applications mobiles existantes. “Nous avons commencé à voir des gens qui construisaient des applications qui occupaient tout l’écran et qui commençaient souvent par ‘J’ai une application mobile et je veux l’exécuter sur le Web.’ Mais nous commençons maintenant à voir des gens qui créent des applications conçues autour de l’expérience Web et de l’hébergement sur cette base”, Tim Sneathdirecteur produit et UX de Google pour Flutter et le langage de programmation Dart, m’a dit.
Sneath a également noté que l’équipe a travaillé dur pour améliorer les performances de Flutter sur le Web (Flutter, rappelons-le, était à l’origine un cadre de développement d’applications mobiles, avec un support Web stable qui n’arrivait que en version 2 en 2021). Plus précisément, cela signifie que les temps de chargement ont maintenant été réduits de manière assez significative.
En parlant de prise en charge du Web, l’équipe Flutter continue de travailler sur le ciblage de WebAssembly (Wasm), malgré le lien étroit du framework avec le Langue de fléchette. Étant donné que Wasm en est encore à ses débuts, bon nombre de ses spécifications restent en évolution. Comme le note l’équipe Flutter, Wasm n’avait pas de collecte des ordures jusqu’à récemment, mais Google a travaillé avec un certain nombre d’équipes de l’écosystème Wasm pour développer le Extension WasmGC, qui est désormais intégré aux navigateurs basés sur Chromium. Avec cela, l’équipe se sentait maintenant à l’aise ajout de la prise en charge de l’aperçu pour Wasm dans ses canaux de pré-version, permettant aux développeurs de compiler Dart en Wasm.
“Nous avons depuis longtemps un support JavaScript de qualité production, mais être en mesure d’apporter la puissance native des expériences compilées sur le Web aidera encore plus”, a déclaré Sneath. “Une grande partie concerne également l’intégration. Si vous avez du code dans Kotlin ou Dart ou bien d’autres langages qui se compilent sur le Web, et la capacité d’interagir avec eux, cela change où se trouve le substrat. Parfois, les gens s’inquiètent beaucoup de ce langage par rapport à ce langage, puis les traiter comme ces écosystèmes discrets. Pour nous, vous vous souciez des gens qui écrivent du code avec le langage de leur choix et Wasm apporte soudainement cette cohérence à travers notre stratégie. Nous sommes ravis d’en arriver enfin à ce point et peut-être éviter d’avoir des dialogues [language] A contre B.”
Un autre objectif récent de l’équipe Flutter est la performance graphique. Comme l’équipe l’a annoncé plus tôt cette année, elle a complètement réécrit son runtime de rendu Impeller et dans la version 3.10, c’est maintenant la valeur par défaut pour les applications iOS. Avec cela, simplement en migrant vers la dernière version de Flutter, les applications obtiendront une amélioration majeure des performances.
Sur Android, Impeller est maintenant en avant-première. Là, le moteur s’appuie sur le Bibliothèque Vulkain, que tous les appareils Android modernes prennent en charge (bien que Google proposera un mode de compatibilité pour les appareils plus anciens). Bien qu’il puisse sembler inhabituel qu’Android ne soit pas le premier à recevoir ces mises à jour, Sneath a noté que le moteur graphique de Flutter sur Android était déjà assez optimisé. Par conséquent, l’équipe a décidé de donner la priorité à iOS, où il y avait beaucoup plus de place pour améliorer les performances graphiques
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