Le guerrier digne d'être reçu chevalier passait la nuit qui précédait sa réception dans un lieu consacré où il veillait auprès de ses armes.
Il était revêtu d'un costume blanc, comme les néophytes de l'Eglise, et de là vint que cette nuit, qu'on nommait veillée des armes, fut ainsi nommée nuit blanche, expression que l'usage a retenue pour signifier une nuit sans sommeil.
Le guerrier digne d'être reçu chevalier passait la nuit qui précédait sa réception dans un lieu consacré où il veillait auprès de ses armes.
Il était revêtu d'un costume blanc, comme les néophytes de l'Eglise, et de là vint que cette nuit, qu'on nommait veillée des armes, fut ainsi nommée nuit blanche, expression que l'usage a retenue pour signifier une nuit sans sommeil.