Carte postale de Banyuls

Les enfants voulaient partir « à l’étranger ».  J’ai beau eu leur dire qu’ils avaient été à Genève, mais ils sont comme moi. Mon patronyme est originaire du Lac Leman et j’étais comme au saumon là bas. « Chez moi »
Nous avons tenté un camping. Je parlerai plus tard de tous les problèmes que nous avons eu (du flash sur l’autoroute, oui j’étais à 135 km/h) aux puces de mardi matin qui nous ont bien piqué. Nous avons été relogés. Nous avons profité.

Les Pyrénées Orientales sont en alerte sécheresse. Il a plu presque tout la semaine. Mais le coin reste fantastique. 
Ici je m’arrête à Banyuls. Plus loin il y a Cerbère, et les restes de l’incendie de la semaine passée.

Banyuls, c’est un vin particulier. Mais c’est aussi un paysage. La mer, la montagne. Et nous entre les deux. C’est la Catalogne, un état dans l’état. Mais je me sens bien ici aussi. Moi le gardois de Genève adopté dans le forez. Un enfant du monde ? N’exagérons pas.

Je termine par cette photo. « La dame dans un bain emmerdée par cactus ». L’allégorie de l’irritant. Tout pour être bien mais une merde t’emmerde

Les prochaines fois j'écrirais sur Dali. Ou sur autre chose.