La chair est pauvre dans les ghettos de l'amour, sous la crasse et le maquillage, les tatouages frelatés et les marques de violence, quand les vapeurs de l'alcool se mêlent aux parfums des corps en solde, alors qu'elle offre ses étreintes de dernier recours en désespoir de blues, au rythme des étreintes à rabais, impatiente de renaître dans l'aube d'un nouveau jour, où elle ne craindra plus les féminicides.