Le nom (réédition), par Jean-Jacques Nuel

Par Jean-Jacques Nuel

En 2005, paraissait mon court récit, « Le nom », aux éditions A Contrario.

Le sujet en est aussi simple qu'étrange : un auteur en mal d'inspiration écrit les quatre lettres de son nom, transforme son nom propre en nom commun, et en fait la matière de son œuvre.

En sept jours il crée un monde.

Le récit a reçu un excellent accueil critique, obtenant une vingtaine d'articles, dont un dans le Magazine littéraire, un autre sur le site d'ARTE.

L'un des meilleurs échos fut sous la plume de Claude Mourthé, dans le Magazine littéraire :

"Le miracle, c'est que l'auteur arrive à maintenir l'attention durant 140 pages avec son seul patronyme, et avec une virtuosité que n'eut pas reniée Perec. (...) En se livrant, sur quatre lettres, à une multitude de variations, il parvient à créer une oeuvre véritable, avec à la fin une bonne petite morale s'inscrivant tout naturellement dans le seul décor où le nom subsiste, gravé : un cimetière. (...) C'est ce que l'on appelle un tour de force, et l'auteur va sûrement s'en faire un, de nom."

Malheureusement l'éditeur A Contrario fit faillite après un an d'existence, et le récit n'a pas bénéficié d'une correcte diffusion en librairies.

Ce livre n'étant plus disponible (sauf en occasion pour l'édition originale), j'ai décidé de procéder à une nouvelle publication, en auto-édition.

Il m'était difficile de modifier un texte écrit vingt ans plus tôt ; cette nouvelle édition est donc fidèle à l'originale, la seule modification étant le remplacement du mot « oculiste » (terme que l'on employait dans mon enfance) par « ophtalmologiste ».

Vous pouvez le découvrir sur internet ou en me contactant.

En 2005, paraissait mon court récit, « Le nom », aux éditions A Contrario.

Le sujet en est aussi simple qu'étrange : un auteur en mal d'inspiration écrit les quatre lettres de son nom, transforme son nom propre en nom commun, et en fait la matière de son œuvre.

En sept jours il crée un monde.

Le récit a reçu un excellent accueil critique, obtenant une vingtaine d'articles, dont un dans le Magazine littéraire, un autre sur le site d'ARTE.

L'un des meilleurs échos fut sous la plume de Claude Mourthé, dans le Magazine littéraire :

"Le miracle, c'est que l'auteur arrive à maintenir l'attention durant 140 pages avec son seul patronyme, et avec une virtuosité que n'eut pas reniée Perec. (...) En se livrant, sur quatre lettres, à une multitude de variations, il parvient à créer une oeuvre véritable, avec à la fin une bonne petite morale s'inscrivant tout naturellement dans le seul décor où le nom subsiste, gravé : un cimetière. (...) C'est ce que l'on appelle un tour de force, et l'auteur va sûrement s'en faire un, de nom."

Malheureusement l'éditeur A Contrario fit faillite après un an d'existence, et le récit n'a pas bénéficié d'une correcte diffusion en librairies.

Ce livre n'étant plus disponible (sauf en occasion pour l'édition originale), j'ai décidé de procéder à une nouvelle publication, en auto-édition.

Il m'était difficile de modifier un texte écrit vingt ans plus tôt ; cette nouvelle édition est donc fidèle à l'originale, la seule modification étant le remplacement du mot « oculiste » (terme que l'on employait dans mon enfance) par « ophtalmologiste ».

Vous pouvez le découvrir sur internet ou en me contactant.