Le Disney: 037: Tarzan (Ciné)

Bonjour à tous et surtout aux fans de Disney dans la salle!

Aujourd’hui, je vous propose de parler de l’un de mes films d’animation préférés et, sans aucun doute possible, le premier que je me souviens avoir vu en salles, en 1999, à l’âge de 8 ans et pas toutes mes dents.

Un dessin animé malin, touchant, aux chansons entrainantes et intemporelles. Tarzan, en somme.

Attention, je spoile!

Synopsis

Dans la jungle africaine, une famille de gorilles vit en paix, avec pour seule préoccupation la présence du guépard Sabor sur leurs terres. Jusqu’au jour où un humain fait irruption dans leurs vies. Un humain que Kala décide d’adopter et de nommer Tarzan…

You’ll be in my heart…always…

La légende de Tarzan fait partie de celles qui sont vues et revues de tous temps. En film, bien sûr (Greystoke; Tarzan) mais aussi en série ou en parodie (George de la Jungle). Alors Disney savait qu’il y avait là une bonne idée, d’autant plus que cette histoire détonnait des habituelles princesses. Tout autant, finalement, qu’un certain Livre de la Jungle…

Quand j’étais petite, évidemment, je pensais que les films dont parlaient mes parents étaient adaptés du dessin animé. Parce que le dessin animé, c’était la vie. Parce que ce Tarzan-ci, c’était le mien, pas touche, mon précieux à moi.

Je ne sais pas vraiment ce qui m’a plu le plus dans cette adaptation. Les dessins, peut-être, magnifiques, fidèles à l’âge d’or des années 90. Ou alors l’histoire en elle-même, cette façon de faire comprendre au spectateur qu’il est acceptable d’être différent, différent des autres, différent de sa famille, aussi (vive les enfants adoptés

). Qu’on peut tomber amoureux sans pour autant délaisser ceux qui nous ont élevés. Que le sang ne fait pas la famille…

Bref, plein de thème qui m’ont plu enfant et qui me plaisent encore plus adulte.

Même si, de tout temps, je ne supporte pas Kerchak et sa tendance à repousser Tarzan pour soudainement l’accepter juste parce qu’il tue Sabor. Crédibilité zéro, va te faire, vilain gorille. (Oui, je sais, protecteur de la famille, blablah, Tarzan est une menace, blablah, je m’en contrecarre).

Et puis, bon, la musique. Cette musique qui a donné le coup d’envoi à mon obsession enfantine pour Genesis et Phil Collins. Que j’écoute toujours parce que je les aime.

Je tiens d’ailleurs à préciser que Tarzan est l’un des rares Disney pour lesquels je connais les chansons aussi bien en VO qu’en VF. XD

(Quant à la rumeur comme quoi Tarzan est le frère d’Elsa et Anna parce que la ligne du temps ‘fonctionnerait’… NOPE.)

Ouhouhihehouuuuh…

Bref, parlons casting voix maintenant que j’ai fait ma fangirl?

En VO, du beau monde: Tony Goldwyn (Scandal) qui prête sa voix de beau gosse à Tarzan; mais aussi Minnie Driver (Ella Enchanted) en Jane; Glenn Close (101 Dalmatians) en Kala ou encore Brian Blessed (Hamlet) en Clayton.

En VF, pas moins de beau monde: Emmanuel Jacomy (la voix française de Russell Crowe entre autres); Valérie Lemercier (Les Visiteurs); Muriel Robin (Saint Jacques…la Mecque) et bien sûr Gérard Rinaldi (Basil détective privé) dont la voix me manque…

En résumé, Tarzan fait partie de ces Disney parfois trop oubliés à mon gout, mais qui vieillit terriblement bien et que je reverrai encore et encore jusqu’à la fin!