Peut-on faire confiance à neuf Sages « nommés » pour contrôler les délibérations de tous les parlementaires « élus » ?
Badinter, ancien président, parlait du devoir « d'ingratitude » des membres de cette institution.
Ce devoir sera-t-il respecté ?
Personnellement, j'en serais très étonné.
Imaginez la pression qu'ils doivent supporter de la part de Micron et de son équipe de bras cassés.
Quant à leur président actuel, l'improbable Fabius, je ne lui achèterais pas une voiture d'occasion.
Alors, le devoir d'ingratitude.
Ce qui est sûr en revanche, c'est que si le Conseil ne bloque pas cette réforme d'une façon ou d'une autre, c'est la cata assurée.
Et, le joli mois de mai arrive…