Une diligence s’arrête au milieu de nulle part, dans l’Ouest sauvage de l’Amérique. Une aristocrate anglaise, joliment pomponnée en descend. Cornelia Locke, jouée par Emily Blunt, est à la recherche de l’homme responsable de la mort de son fils. Elle y rencontre Eli Whipp, joué par Chaske Spencer, attaché à une potence.
Une amitié improbable va unir cette femme blanche et cet amérindien dans leur quête de vérité et de vengeance.
Je ne suis pas un grand fan des westerns. J’ai dû en regarder dans mon jeune temps, en compagnie de mon grand-père, où des grosses pointures sévissaient : John Wayne, Clint Eastwood, Lee Marvin, Charles Bronson… J’ai lu des Lucky Luke pour l’humour de leurs auteurs. Si ! J’ai vu « Le vent de la plaine » avec Burt Lancaster et… Audrey Hepburn ! Ayant découvert par hasard cette remarquable actrice au début des années 2000, je me suis intéressé à sa filmographie et j’ai donc vu ce western.
Le visionnage de ce western (6 épisodes) est lié à mon récent coup de cœur (2018) pour Emily Blunt. Plaisant de la voir dans un rôle encore différent. Elle est vraiment à l’aise partout. Un rôle de mère blessée, prête à tout pour venger la mort de son fils. Aristocrate anglaise, elle est plus à l’aise avec un arc et des flèches qu’avec un fusil.