Mais le trouble le plus important est le retour au pays d’un tueur en série après plusieurs années d’incarcération aux Etats-Unis : un pervers venu vraisemblablement régler des comptes qui a négocié son autobiographie auprès d’un journaliste bien connu : Jimmy Stevens.
De quoi nourrir 600 pages d’intrigues étroitement imbriquées, avec ses impasses et ses fulgurances, des scènes de combat et de passages à tabac, de nouvelles cicatrices pour le héros inoxydable … Une fresque réaliste de la ville d’Edimbourg et de ses failles sociales, des quartiers chics aux plus tristes cités ouvrières.
La mort dans l’âme (1999), polar de ian Rankin – Dead Souls – traduit par Edith Ochs – chez Folio policier, 608 p., 8,50€