Bonjour,
Aujourd'hui en physique, les nouvelles unités dimensonnelles de l'impédance acoustique sont calculées en mètres par seconde!
Vous pouvez le vérifier en cliquant ici, sur cette conversation entre physiciens.
Alors qu'au départ, l'impédance est considérée comme une sorte de résistance, voilà qu'elle est "explorée" plus profondément, grâce à cette constatation: "Au passage d'une onde sonore ayant sa propre vitesse, une autre onde lui fait OPPOSITION avec une vitesse toujours supérieure, quel que soit le matériau de propagation".
C'est une façon d'exprimer la loi du ras-de-marée: pour qu'un tsunami se produise sur les bords d'un fond océanique qui grandit, il faut que la mer se retire d'abord. (Dans ce modèle, l'impédance est symbolisée par le retrait des eaux, et l'onde acoustique par le ras-de-marée au même endroit).
Notons que les termes de "même endroit" introduisent déjà la notion de quantum local d'une onde.
Au moment où les physiciens considèrent que l'impédance Z est là en opposition à l'onde W pour créer la pression acoustique, il est temps de se rendre compte que l'une est le calque de l'autre, en positif et négatif, mais dans des apparences Z et W sensiblement différentes.
Oublions le style très violent du tsunami, et contentons-nous d'une mer "normale" animée de vagues de surface, qui apparaissent et disparaissent localement.
Max Planck a déterminé pour les ondes électromagnétiques sa fameuse version quantique de l'énergie E = h. "nu" (pour h = "action de Planck" et nu = fréquence). C'est insuffisant et incorrect: les vibrations corpusculaires ont une fréquence quantique intrinsèque différente de celle de l'onde surfacielle électromagnétique qui résulte de l'existence préalable de ces vibrations.
Mais revenons "à nos moutons", selon une célèbre expression française.
A suivre/ article en construction.