Un Camerounais et une Ivoirienne ont été victimes de lynchage en Tunisie, victimes de la négrophobie dans le pays. Cet acte raciste a suscité l’indignation de nombreux africains et les appels à la fin de la négrophobie.
L’incident a eu lieu à la station de métro de la Marsa à Tunis. Les deux victimes, un Camerounais et une Ivoirienne, ont été attaquées et agressées verbalement et physiquement par un groupe d’individus tunisiens.
Les agresseurs ont proféré des insultes racistes et ont attaqué les deux africains à coups de pieds et de poings. La police est intervenue pour arrêter les agresseurs et secourir les victimes.
Réactions des autorités et des citoyens
Les autorités tunisiennes ont condamné l’incident et ont promis de prendre des mesures pour protéger les ressortissants étrangers en Tunisie. Des voix s’élèvent également dans la communauté internationale pour condamner fermement cet acte de violence raciste.
Les Africains noirs ont également réagi à l’incident, certains appelant à des mesures strictes contre la négrophobie en Tunisie. Beaucoup ont partagé leur expérience de racisme en Tunisie et ont appelé à une prise de conscience de la gravité du problème.
La Négrophobie en Tunisie
La négrophobie en Tunisie est un problème bien connu et largement répandu. Les Africains noirs en Tunisie font souvent face à la discrimination, aux insultes racistes, à la violence verbale et physique, et même à la mort.
Malheureusement, cet incident n’est pas un cas isolé, car de nombreux Africains ont déjà subi des violences racistes en Tunisie. Les organisations de défense des droits de l’homme demandent que les autorités tunisiennes fassent davantage pour protéger les étrangers et garantir l’égalité des droits pour tous.
La négrophobie en Tunisie est un grave problème qui doit être abordé. Les actes de violence et de discrimination à l’encontre des Africains noirs ne peuvent plus être tolérés. Les autorités tunisiennes doivent prendre des mesures concrètes pour mettre fin à la négrophobie et garantir la sécurité de tous les étrangers dans le pays. Les Africains noirs doivent également se tenir solidaires et continuer à dénoncer ces actes de violence et de discrimination.