Le 4 octobre 1957, le 1er satellite est lancé dans l'espace. Il s'agit d'un satellite soviétique : Spoutnik 1.
A ce jour, on estime à 131 millions les déchets spatiaux. Seuls 32 000 déchets sont suivis et surveillés.
L'orbite basse terrestre, entre 120 et 2 000 kms d'altitude, est la plus encombrée : satellites météorologiques et d'observation de la terre.
Entre 2 000 et 36 000 kms d'altitude : ce sont les satellites de navigation (GPS).
Au-delà de 36 000 kms d'altitude : ce sont les satellites de télécommunication.
Les débris ont une vitesse de 7 à 8 kms/seconde.
En 2009, un satellite russe a percuté et détruit un satellite américain et généré 2 000 éclats.
En 2021, un tir de missiles anti-satellite réalisé par la Russie a produit des éclats qui ont failli toucher la Station Spatiale Internationale et les 7 astronautes ont dû se réfugier dans les modules de secours.
90 tonnes par an de déchets spatiaux tombent dans les océans.
Des missions de nettoyage sont en place mais uniquement à l'orbite basse terrestre.
(Référence : Fatoumata KEBE, astrophysicienne française).
Le 4 octobre 1957, le 1er satellite est lancé dans l'espace. Il s'agit d'un satellite soviétique : Spoutnik 1.
A ce jour, on estime à 131 millions les déchets spatiaux. Seuls 32 000 déchets sont suivis et surveillés.
L'orbite basse terrestre, entre 120 et 2 000 kms d'altitude, est la plus encombrée : satellites météorologiques et d'observation de la terre.
Entre 2 000 et 36 000 kms d'altitude : ce sont les satellites de navigation (GPS).
Au-delà de 36 000 kms d'altitude : ce sont les satellites de télécommunication.
Les débris ont une vitesse de 7 à 8 kms/seconde.
En 2009, un satellite russe a percuté et détruit un satellite américain et généré 2 000 éclats.
En 2021, un tir de missiles anti-satellite réalisé par la Russie a produit des éclats qui ont failli toucher la Station Spatiale Internationale et les 7 astronautes ont dû se réfugier dans les modules de secours.
90 tonnes par an de déchets spatiaux tombent dans les océans.
Des missions de nettoyage sont en place mais uniquement à l'orbite basse terrestre.
(Référence : Fatoumata KEBE, astrophysicienne française).