Lors de son enfance, pendant les carnavals comme à la moindre occasion, elle aimait revêtir des haillons noirs, un chapeau pointu et maquiller son visage en y dessinant furoncles et poireaux disgracieux.
Soixante ans plus tard, elle n’a plus besoin d’aucun artifice pour ressembler à une harpie, au physique naturel de la sorcière elle y ajoute maintenant le caractère.