Le Cameroun est connu pour être l’un des pays les plus corrompus en Afrique. Malheureusement, une nouvelle affaire de corruption vient d’être révélée et elle est de grande envergure.
Des fonctionnaires camerounais se sont partagés près de 16 milliards de l’Anglo-Suisse Glencore, et la justice camerounaise semble se moquer de cette affaire.
Les fonctionnaires impliqués
Des informations fiables révèlent que plusieurs fonctionnaires haut placés, y compris des ministres et des hauts fonctionnaires, sont impliqués dans cette affaire de corruption. Ils ont profité de leur position pour obtenir des commissions illégales sur les contrats signés avec Glencore, un des plus grands groupes miniers du monde.
La responsabilité du président Paul Biya
Le président de la République, Paul Biya, est considéré comme le principal responsable de ce scandale. En effet, il a laissé ses fonctionnaires agir en toute impunité et n’a pris aucune mesure pour les arrêter. De plus, il a permis à ces fonctionnaires de bénéficier de contrats lucratifs avec des entreprises étrangères sans tenir compte des conséquences sur l’économie du pays.
Lire aussiSexualité et bien-être : 144 rapports sexuels recommandés par anLa justice camerounaise sans réaction
Malgré les révélations de cette affaire de corruption massive, la justice camerounaise ne semble pas s’en préoccuper. Aucune enquête n’a été menée pour poursuivre les fonctionnaires impliqués et le président Paul Biya semble être à l’abri de toutes poursuites.
L’impact sur l’économie camerounaise
Cette affaire de corruption a un impact considérable sur l’économie camerounaise. En effet, les fonds illégaux détournés auraient pu être utilisés pour améliorer les conditions de vie des Camerounais et développer le pays. Au lieu de cela, ces fonds ont été utilisés pour enrichir les fonctionnaires corrompus.
Lire aussiCovid-19: Le Cameroun enregistre 673 nouveaux cas en deux semainesLe scandale des 16 milliards de Glencore est l’un des plus importants de l’histoire du Cameroun. Il met en lumière la corruption endémique dans le pays et montre la responsabilité du président Paul Biya dans cette situation. Malheureusement, la justice camerounaise semble se moquer de cette affaire et ne prend aucune mesure pour poursuivre les fonctionnaires impliqués. Il est temps pour la communauté internationale de prendre des mesures pour lutter contre la corruption au Cameroun.