Vu sans préméditation, 'You don't mess with the Zohan' m'est apparu comme une farce grotesque assez abracadabrante. Sur l'affiche, ça peut ressembler à une gentille comédie mainstream pour consommation rapide, mais quand on voit la 'chose' à l'écran, on n'arrête pas de se demander comment des types ont pu s'asseoir et réfléchir ensemble pour écrire une pareille montagne d'inepties et d'absurdités. Dans le lot, il y a un peu de tout, des blagues salées très crues (beaucoup), du comique 'tarte à la crème', du nonsense, une charge politique et raciale à la Borat visant principalement l'inimitié israélo-palestinienne... l'humour part dans tous les sens, la plupart du temps avec une grâce d'éléphant, mais ça fait mouche une fois sur deux - oui, je le confesse, j'ai ri. (l'état de la planète étant ce qu'il est, pourquoi ne pas en rire?) La dernière partie du film en particulier me semble assez effarante: on est en plein dans le surréalisme, avec la convocation de Mariah Carey et John Mc Enroe en guest-stars self-caricaturés, les scénaristes se sont sûrement endormis, et Adam Sandler et John Turturro font ce qu'ils veulent. C'est affligeant, nul et en même temps complètement décalé.
Vu sans préméditation, 'You don't mess with the Zohan' m'est apparu comme une farce grotesque assez abracadabrante. Sur l'affiche, ça peut ressembler à une gentille comédie mainstream pour consommation rapide, mais quand on voit la 'chose' à l'écran, on n'arrête pas de se demander comment des types ont pu s'asseoir et réfléchir ensemble pour écrire une pareille montagne d'inepties et d'absurdités. Dans le lot, il y a un peu de tout, des blagues salées très crues (beaucoup), du comique 'tarte à la crème', du nonsense, une charge politique et raciale à la Borat visant principalement l'inimitié israélo-palestinienne... l'humour part dans tous les sens, la plupart du temps avec une grâce d'éléphant, mais ça fait mouche une fois sur deux - oui, je le confesse, j'ai ri. (l'état de la planète étant ce qu'il est, pourquoi ne pas en rire?) La dernière partie du film en particulier me semble assez effarante: on est en plein dans le surréalisme, avec la convocation de Mariah Carey et John Mc Enroe en guest-stars self-caricaturés, les scénaristes se sont sûrement endormis, et Adam Sandler et John Turturro font ce qu'ils veulent. C'est affligeant, nul et en même temps complètement décalé.